Police polissonne (18)
Datte: 17/11/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... l’échelle de rail de cinq mètres ses muscles lui font mal, elle grogne et au fond le sergent hurle un truc qu’elle ne comprend pas.
Le dessus dessous comme son nom l’indique, il s’agit d’un jeu de barres horizontales où il faut passer un coup dessous et un coup dessus les barres, passe relativement bien.
À la table irlandaise, une planche placée horizontalement sur deux poteaux à deux mettre de haut doit être franchie en sautant, s’y agrippant avec les mains puis en balançant son corps pour le faire passer par dessus. Elle saute, s’agrippe à la planche mais ses mains glissent, elle retombe au sol, elle souffle ; la fatigue commence à se faire cruellement sentir.
— Allez saute et agrippe-toi ! lui hurle un homme.
Elle saute, s’agrippe.
— Balance-toi ! plus fort, encore …Ouais ! c’est bon.
Elle est passée, c’est bras lui font mal, ses muscles deviennent durs. Mais il faut qu’elle continue, elle le sait, alors elle se motive intérieurement. Elle doit maintenant sauter le fossé, puis la fausse pleine d’eau, elle trébuche tombe dans l’eau. L’homme de surveillance crie :
— T’es pas là pour faire la baignade, t’es en retard bouge toi bordel !
Elle est essoufflée, et il lui faut escalader le mur. Deux mètres de haut ! Elle doit courir et sauter en s’appuyant sur le mur, l’attraper en haut et passer par-dessus. Le béton lui lacère les mains ; elle souffre, mais elle passe. Derrière c’est le mur d’escalade, quatre mètres de haut ! Une montagne pour elle ; les ...
... marches font plus d’un mètre pour elle c’est insurmontable.
«Putain, il faut que j’y arrive ; il ne va pas le faire chier ce putain de mur ! Sonia montre-lui à ce connard de sergent que t’as des couilles, grimpe ! » lui ordonne son subconscient.
Elle est à bout de forces mais elle y arrive. Debout sur la cime du mur il faut sauter, c’est haut trop haut pour elle.
— Saute ! lui hurle l’homme en bas.
Elle ferme les yeux et crie « Aaaah… ! » touche le sol et fait un roulé-boulé.
— Allez ! Prends le sac et va jusqu’au poteau ! ordonne un autre soldat.
Le sac ? Il fait trente kilos, c’est plus de la moitié de son poids. Elle le prend et l’arrache du sol dans un grand « Arghhh… ! » de rage, et elle part en titubant avec le sac serré contre elle. Les dix mètres qui la séparent du poteau sont une éternité. Ses muscles l’abandonnent, son corps cède.
Elle entend des : « Allez Sonia, tu vas y arriver ; ne lâche pas. Allez Sonia ! Allez Sonia ! » Elle reconnaît la voix d’Olivier et dans un sursaut de rage elle parcourt les derniers mètres et s’écroule au pied du poteau.
— Top ! hurle le caporal.
Olivier la rejoint, l’aide à marcher jusqu’à la pelouse. Elle est exténuée, trempée et surtout déçue de sa performance. Olivier s’inquiète :
— Ça va Sonia ? Tu veux à boire ?
— Oui, donne-moi un peu d’eau. Putain j’suis nulle, j’ai mal.
— Calme-toi, respire bien comme il faut ; reprends des forces, car c’n’est pas fini.
— Olivier Dosi, c’est à vous.
L’homme ...