1. Abélia, ou l'impudeur


    Datte: 24/04/2018, Catégories: f, fh, ff, 2couples, jeunes, cadeau, copains, cinéma, Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, Oral 69, hsodo, Partouze / Groupe init, confession, nostalgie, Auteur: Silène, Source: Revebebe

    ... plus, qui me faisait goûter sans ménagement un peu de ma cyprine.
    — Tu entends Esteban, ma copine aime… elle aime ta queue !
    — Elle est bonne, ta copine, souffla-t-il après avoir sorti et entré son gros sexe de tout son long, caresse visant vraisemblablement à m’arracher, avec cette main qui m’avait saisi un peu trop fort les cheveux, un feulement supplémentaire.
    — Bien sûr qu’elle est bonne ! Regarde comme elle ondule, ajouta Abélia, survoltée. Une vraie… une vraie petite chienne ! N’est-ce pas, ma puce ?
    — Oui, dis-je dans un râle… une vraie… une vraie petite chienne…
    
    Ces derniers mots ne m’électrisèrent pas seulement : ils m’arrachèrent aussi un étrange et équivoque « continue », l’une de ces phrases qui ne relèvent plus d’une autre fonction que de celles entraînant une maximalisation du plaisir. Dans un délicieux frisson de honte, sans trop savoir à qui je m’adressais vraiment, j’ajoutai :
    
    — Baise-moi… oui… baise ta… baise ta chienne !
    
    En vérité, je m’adressais moins à lui qu’à elle. Ainsi, je savais que celle-ci venait de sourire.
    
    — T’entends, Esteban ? Baise-la… baise-la bien fort !
    
    Je ne sais pas combien de temps il me besogna, mettant littéralement feu aux parois aussi bien intérieures qu’extérieures de mon sexe – ouh, ces petites lèvres douloureuses, le lendemain ! – je ne sais dans quelles proportions il me baisa de cette manière, avant de s’occuper de nouveau d’Abélia. Ce que je sais, c’est que machinalement, mes hanches répondirent à ces ...
    ... va-et-vient en se cambrant davantage, prolongeant le mouvement de ses reins et accentuant ainsi ce bien-être, cette satisfaction, qui ne cessaient de croître.
    
    Au moment où, Abélia et moi, nous nous embrassâmes, je sentis à regret ma vulve se vider. Aussi donnai-je, envieuse, une foule de baisers sur le cou, sur l’épaule, sur les hanches de mon amante. Il lui était donc venu la fantaisie de changer. Ma colocatrice de nouveau prise, je sommai au couple de se redresser un peu, avant de me placer sous lui, cherchant à quatre pattes et de la langue le contact encore inédit d’un sexe de femme.
    
    Esteban releva fermement la cuisse de sa partenaire. Presque boursouflé, son abricot était comme déformé par cette queue trop large, trop insistante, qui pourtant la pilonnait toujours. Les fesses bien écartées, j’assistai au spectacle de cet incessant mouvement de perforation, de petites lèvres écartelées par un membre puissant, d’un clitoris décapuchonné et dur, massé de temps en temps par l’un ou l’autre des amants. Avec des yeux gourmands j’étudiai un coït que je n’avais jamais vu de si près, m’imprégnant de l’odeur forte de ces deux sexes, l’âcreté du pénis et la douceur de la cyprine mêlés dans un étrange et envoûtant fumet – ce fut d’ailleurs à ce moment-là, tandis que je respirais leurs sexes, que je sentis le contact mouillé de la langue de Paul, qui avait entrepris depuis peu d’ôter mes bas, de me caresser lentement les cuisses, puis de s’occuper, enfin, de mon pubis échaudé.
    
    Je ...
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