La Révélation de Sophie (7)
Datte: 15/11/2020,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: blueyes, Source: Xstory
... s’écrasèrent généreusement contre l’armoire de poils ; les lèvres des deux amants n’étaient plus séparées que par l’épaisseur du même souffle enflammé. C’était l’ultime répit avant l’assaut final.
Et ce fut Sophie qui exigea l’abordage. Elle arqua son corps. Ses muscles, avec la souplesse du roseau soumis à l’impétuosité du vent, se plièrent à l’impératif sexuel. Elle creusa donc les reins, bascula le cul en arrière et offrit au maximum sa chatte.
« ALLEZZZZ-YYYY !!!! »
L’animal se remit en branle et la queue à l’ouvrage. Elle l’emprisonna avec ses bras, l’enserra avec ses cuisses, elle planta ses ongles dans les omoplates et implora à nouveau :
« ALLEZZZZ-YYYY VENEZ EN MOI ! »
La gueule de l’ange-bête devenait-elle floue, la métamorphose en minotaure était-elle accomplie ? Ou, tout simplement, l’être hybride perdait-il enfin le contrôle ?
Déchaîné, il labourait et bourrait ; Sophie était possédée, comme crucifiée, désarticulée. La bête mugit et, dans une poussée ultime, son énorme pine éjacula tout au fond de la matrice. Elle reçut l’ensemencement comme un transport vers l’au-delà de son être, elle atteignit le « OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ...
... » incandescent de tous les absolus. A voir les soubresauts de la bête, on s’imaginait la puissance des giclées. Et Sophie jouissait en conséquence. Il ne la laissa pas redescendre, enfilé en elle jusqu’aux couilles, il bourrait encore, comme s’il était possible de lui la mettre plus profond. Jamais Phil n’aurait imaginé qu’une femme puisse se faire remplir aussi intensément !
Et puis, progressivement, Sophie se calma et puis l’ange-bête fut enfin vidé et sa lourde carcasse s’affala sur elle.
Sophie était ensevelie sous la masse et il semblait impossible qu’elle puisse jamais reprendre le dessus. Son amant fantastique avait cessé de la pistonner, mais restait fiché elle. Comme mue par un incoercible réflexe conditionné, la jeune fille remuait du bassin ; ainsi elle massait en l’enserrant entre les parois spermeuses de son con la pine qui, prit dans cet étau, ne débandait pas. Une telle ondulation copulatoire pouvait laisser penser qu’elle n’était pas totalement rassasiée. Mais non, Sophie était repue. Et dans un gémissement de pâmoison qui s’acheva en immense soupir de contentement :
« ÔÔÔHHlàalaaa…. Mon Dieu !!!!! Mais Mon Dieu que c’était bon !!! »