1. La Révélation de Sophie (7)


    Datte: 15/11/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: blueyes, Source: Xstory

    Dans un silence de cathédrale, Sophie se dirigea vers le lit, autel sur lequel, de son plein gré, elle ferait le sacrifice de son pucelage. Elle capturait toute l’attention. Chaque seconde était chargée d’intensité et, à l’unisson de la moiteur que par tous ses pores la jeune vierge exhalait, l’air semblait s’épaissir lui-aussi. Sa peau couleur de miel luisait de sueur, ses cheveux noirs étaient collés à son front comme à ses tempes, mais surtout et puisqu’il fallait toujours en revenir à la source de l’inondation, la cyprine dégorgeait des lèvres bâillantes, en un débordement si conséquent qu’il concernait aussi les cuisses. Alors la touffeur oui, mais pas l’avachissement. Au contraire, la démarche féline, sublimait la fermeté de la carnation. Et pour l’incarnation, l’éclat intense de ses yeux, sa bouche assoiffée, ses joues embrasées, son corps exalté par le fouet, ses mamelles au ballotement arrogant associées à un cul fulgurant, certes strié par le cuir, mais indompté, balançant encore plus franchement d’équivoque, toute cette fournaise féminine concourait au diabolique équilibre d’un univers entièrement dédié à la sexualité.
    
    La scène était teintée d’irréelle. Phil ne cherchait même plus à comprendre le prodige des caméras invisibles. Comment captaient-elles, sous plusieurs angles, toujours les plus troublants, la Beauté éblouissante ?
    
    Quoi qu’il en soit, le corps si fortement désiré ploie vers la couche. Sophie étend sa nudité, d’abord, sur le flanc et puis, ...
    ... comble de l’érotisme, ses attributs de femelle accompagnant le mouvement, elle se coule sur le dos, et, cuisses écartées, s’offrent à l’ange.
    
    Présence fulgurante et simultanément projetée sur l’écran géant, réelle autant que virtuelle, elle git sur le dos ; son cœur bat la chamade et ce surplus d’émotion gonfle la poitrine et soulève d’autant les tétons vers le ciel. L’une des caméras invisibles doit être fixée au plafond car, maintenant, elle est filmée en plongée, le plan écrasant accentue la vulnérabilité de ce trésor qui, en toute conscience, s’exhibe, les bras collés au corps, les jambes entrouvertes, dans l’offrande de sa fente aux lèvres bavantes.
    
    « Ohhhhhh… »
    
    Ça c’est l’exclamation de l’assistance, chœur stupéfait de découvrir l’anatomie du maître de cérémonie qui, pendant ce temps, s’était dévêtu. Un roc massif, particulièrement velu et doté d’un appareil génital impressionnant. Cette histoire basculait carrément dans le fantastique !
    
    Phil était-il le seul à voir la transformation surnaturelle de l’être qui allait dépuceler la jeune fille ? L’ange se faisait bête ! Seul le visage figé, immuable, était épargné de toute altération, à l’inverse, le corps brut, au pelage ensauvagé, s’éloignait de l’humanité. Phil ne croyait pas aux anges, encore moins aux Dieux de la mythologie qui, à volonté, adoptent formes humaines ou animales. Alors quoi ? L’imminence du coït provoquait-elle une hallucination collective ? Comme pour accentuer encore, par le contraste, le ...
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