1. La Révélation de Sophie (7)


    Datte: 15/11/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: blueyes, Source: Xstory

    ... La queue la remplissait et, en pistonnant, toujours gagnait du terrain. Il devint évident qu’elle la recevrait sans problème jusqu’aux couilles. L’abandon était une victoire et quand les testicules du taureau en vinrent à s’écraser contre les lèvres du con, elle émit un cri de satisfaction, strident, inimitable, celui qui, à coup sûr, promet l’orgasme.
    
    Une fois empalé jusqu’aux couilles l’être hybride se redressa. Son visage comme figé dans le marbre n’exprimait aucune d’émotion mais l’amplitude de son torse, un tronc massif aux parois abruptes et recouvertes de poils drus, évoquait plus que jamais les instincts fauves. Les pattes amples et velues agrippèrent fermement la jeune fille par la taille. Le moment était venu de passer, à proprement parler, à la saillie.
    
    On peut vraiment dire qu’il la baisa comme une bête. Les coups de reins s’enchaînèrent crescendo, sans que le moindre signe d’effort n’apparaisse sur la face du copulateur ; à contrario, Sophie vibrait de tout son être et ses beuglements gagnaient en intensité. La pine fouillait de plus en plus vigoureusement les parois vaginales, et, au son du va et vient visqueux dans l’étau de chair répondait, comme une ponctuation à la puissance de l’assaut, le bruit sourd des couilles du taureau qui s’écrasaient, cognaient, imperturbablement contre les lèvres du con.
    
    Phil, pourtant adepte de porno, n’avait jamais vu un tel spectacle. Face à cette intensité animale, les vidéos les plus hardcores sonnaient faux.
    
    La ...
    ... fragile poupée, clouée sur le lit, cuisses levées, genoux pliés, encaissait les coups de boutoirs. Non seulement elle ne se plaignait pas, mais bien au contraire, en redemandait. Maintenant, ses gueulements n’étaient qu’interminables « ENCOREEEEEEEEEEEE », des « ENCOREEEEEEEEEEEE » qui, sans aucun doute, s’apparentaient à un encouragement à augmenter encore la cadence. L’ange-bête accéléra donc. Ecartelée par la jouissance, ses bras, fins comme des lianes, passés sur l’encolure de l’animal, ses doigts plantés dans les omoplates, la femelle, bouche grande ouverte, yeux ébahis, remuait la tête comme une hystérique dans tous les sens. La perte de contrôle de son être l’amenait maintenant aux hurlements. De ses entrailles jaillirent des « OUIIIIIIIIIIIIIII » en cascade, des « OUIIIIIIIIIII » viscéraux. A force de gesticuler comme une possédée, de se débattre avec l’orgasme, elle glissa hors du lit ; son torse avec ses deux merveilleux défis ronds à toute idée d’apesanteur bascula dans le vide, le buste était comme maintenu en lévitation par les coups de boutoirs qui faisaient vibrer le corps tout entier. Dans un grognement rauque, l’animal souleva l’embrochée et la replaça au centre du lit. Il la manipulait comme si elle ne pesait rien. Il y eut alors comme un court temps suspendu. Ils étaient immobiles, soudés par le sexe. L’ange-bête raffermit encore sa prise sur les hanches et, se ploya jusqu’à ce que son torse bestial épouse l’opulente poitrine. Les seins de la jeune femelle ...