1. Sur la plage, moment donné


    Datte: 12/11/2020, Catégories: fh, hplusag, profélève, sport, Oral préservati, pénétratio, Auteur: Clubescargot, Source: Revebebe

    ... farfouiller dans les tiroirs ! »
    
    Je passe à la vitesse supérieure en prenant ses mains dans les miennes pour le guider pas après pas jusqu’à la chambre. Il ôte mon débardeur, m’embrasse de nouveau, me dit que je suis belle. Je défais mon soutien-gorge, sa boucle de ceinture, les boutons de son jean, puis je retire mon pantalon et ma culotte sans cérémonial. Peut-être qu’il trouve que ça va trop vite ?
    
    — Tu es sûr ? Tu peux dire non, tu sais…
    — Oui, m’assure-t-il en se déshabillant à son tour, dévoilant le tatouage qui a toujours attisé ma curiosité en dépassant de ses combinaisons moulantes.
    
    La combi donne un bronzage étrange : un visage tout basané et un corps tout blanc. J’ai des marques jusqu’à mi-bras et mi-cuisses ; lui non, car il porte toujours des combinaisons longues. Il est encore plus maigre que je pensais, tout sec, tout musclé, avec un petit cul…
    
    Je m’étends sur le dos. Il s’approche à quatre pattes et m’embrasse encore pendant que je pose une main sur sa nuque et l’autre sur ses bourses. Purée, j’ai l’impression d’être terriblement entreprenante ! J’ai tellement l’habitude que le gars fasse le premier pas en me sautant dessus…
    
    Je ferme les yeux. Je sens une main se poser sur mon pubis, ses doigts partir en exploration entre mes cuisses. Mon excitation suinte au bout de ses doigts. J’aimerais qu’ils s’insèrent en moi, qu’ils ouvrent le passage, qu’ils m’écartent à plusieurs, mais ils s’arrêtent sur le seuil.
    
    — Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? ...
    ... s’enquiert-il.
    
    J’attire sa tête vers mon sein. Il ne comprend pas.
    
    — Fais-le sortir, ordonné-je.
    
    Aussitôt Léonard s’exécute et me suce le mamelon. J’ai toujours envié ces filles aux tétons fièrement dressés dans leurs aréoles sombres. Les miens sont de petits timides : ils ne sortent que par grand froid ou sous l’effet de l’excitation. Ils sont, comme dit ma gynécologue, « invaginés » (quel vilain mot…). D’après elle, ce n’est pas grave ; ça ne sera pas une gêne si un jour je souhaite allaiter. En attendant, je trouve ça laid. Au repos, ils sont comme mes tétons d’enfant, si ce n’est qu’ils ont grossi en même temps que ma poitrine et se sont légèrement assombris en un rose foncé.
    
    J’ouvre les yeux et contemple mes petits timides qui pointent enfin.
    
    — Tu veux que je descende ? demande-t-il. Je ferai ce que tu aimes.
    
    « Pour une fois qu’un mec ne me demande pas de le sucer de prime abord, comme un préambule obligatoire avant tout rapport ! » Hélas, toutes mes expériences de cunnilingus (encore un mot que je trouve vilain !) faits par des hommes s’étant soldées par de l’ennui ou de la douleur, je préfère éviter la déception. Par habitude peut-être, mais aussi par envie de le goûter avant que du plastique ne s’en mêle, je fais s’allonger l’homme sur le dos et lui écarte les jambes.
    
    C’est tellement… irréel ! Combien de fois ai-je fantasmé sur cet homme doux, savant, pédagogue, aimant transmettre sa connaissance, animer des groupes dans une grande bienveillance. ...