1. Camille, délivre-moi du mâle


    Datte: 10/11/2020, Catégories: fh, ff, fhh, hplusag, couleurs, danser, fsoumise, dispute, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral 69, confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... de peinture naïve, mais à une chambre spacieuse, décorée avec goût, où je peux à loisir ranger le contenu de mes deux valises. Dominique est absent, mais je fais connaissance au dîner des deux enfants du couple : Kevin, 17 ans, un solide gaillard, portrait craché de son père et Carole, 14 ans, une vraie petite peste. Lorsque nous avons fini, je me propose de desservir ; Camille me gronde : elle a deux employées de maison ! Me prenant par la main, elle me mène au sous-sol, au fameux jacuzzi. Se dénudant intégralement, elle plonge dans l’eau bouillonnante. Je l’imite. Je me délasse ; mon stress disparaît sous la caresse des bulles. Mon hôte s’approche de moi, pose ses mains sur mes seins, les soupèse, les cajole.
    
    — J’aimerais avoir une poitrinenaturelle comme la tienne !
    
    Je manque de lui répondre que la sienne, aussi, est jolie, la touche et me rends compte que je palpe des globes nettement siliconés. Elle me jette un regard trouble, me prend sous les aisselles, me hisse sur la margelle du jacuzzi et m’écarte les cuisses. Je suis presqu’à l’endroit où je me suis donnée à son mari. Restée dans l’eau, elle plonge son visage dans la fourche de ma féminité. Sa langue est toujours aussi experte et s’insinue avec agilité dans mes moindres recoins ; elle a l’art d’exaspérer mes sensations, elle est en fait tellement plus attentive à mes réactions, fussent-elles minimes, qu’un homme ! Reposant sur les coudes, la tête en arrière, les jambes dans l’eau, je laisse un langoureux ...
    ... plaisir me secouer les reins. J’ai trouvé ma maîtresse, dans tous les sens du mot.
    
    oooooooooooOOOOOOOOOooooooooooo
    
    Voilà maintenant deux mois que je vis chez Camille. Elle a généreusement entrepris de renouveler à ses frais ma garde-robe ; surtout en lingerie, tous les samedis matins, où nous courons de boutique en boutique. Je suis une petite fille gâtée par sa marraine.
    
    Chaque fois que Dominique s’absente, elle vient me retrouver et nous passons la nuit de câlin en câlin. Elle aime que je lui raconte, de manière explicite, les sensations que me donnent et ses doigts et sa langue. Sous sa houlette, je me suis sentie devenir sa poupée de chair, satisfaisant volontiers ses caprices érotiques. Un jour, je lui ai dit combien j’aimais les préliminaires qui durent, mais que parfois, je regrettais l’absence d’un sexe d’homme en moi. Le soir même, elle m’a rejointe, armée d’un gode ceinture et m’a pistonnée jusqu’à ce que je crie grâce, comme pour me prouver que le joujou d’un homme s’épuise trop souvent trop vite pour mon propre plaisir. Une autre fois, elle a convié son mari à participer à nos ébats, mais ne l’a laissé qu’accéder à mes reins et à mes lèvres, me montrant clairement que ma féminité lui était réservée (étonnant spectacle que de voir un fiscaliste réputé se plier à la lettre aux ordres de sa femme). Plusieurs fois, elle m’a emmenée dans sa voiture au Bois de Boulogne ou sur des parkings routiers, et m’a dévêtue devant des voyeurs excités qui ont souillé les ...