1. Camille, délivre-moi du mâle


    Datte: 10/11/2020, Catégories: fh, ff, fhh, hplusag, couleurs, danser, fsoumise, dispute, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral 69, confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... pénétrant dans une salle de douche complètement ouverte, où trois femmes et quatre hommes se lavent sous le regard des autres. Le souvenir des douches de la salle des sports du lycée remonte à ma mémoire, mais elles n’étaient pas mixtes ! J’ôte mon justaucorps – ou plutôt ce qu’il en reste – rapidement rejointe par Camille qui entreprend de me savonner, insistant particulièrement là où je suis maculée. Avec remord, je détruis l’œuvre récente de mon coiffeur en me lavant les cheveux pour effacer les traces de luxure blanchâtres laissées par le jeune Black. Trois des hommes me regardent, toilette intime ou pas.
    
    Puis Camille m’enveloppe dans un grand peignoir blanc, et nous nous tournons vers les lavabos adjacents à la salle de douche, toujours exposées aux regards des autres. Je n’ai apporté qu’une simple pochette, que j’ai d’ailleurs laissée à la table que nous occupions en début de soirée. Heureusement, Camille a le sien, d’une taille appropriée, et j’utilise sa brosse, son blush et même son rouge à lèvres grenat foncé, moi qui généralement aime les couleurs nuancées. Je renfile ma tunique malgré ses tâches suspectes, m’arrête dans le salon où je me suis livrée à des jeux érotiques, y récupère mes chaussures alors qu’une des bimbos du bar change le drap-housse du lit, retrouve ma jupe au bord de la piste de danse et enfin ma veste à notre table. Mon homme, debout, m’y attend, me fusillant du regard. J’ai tout juste le temps de saluer le couple de la Chalardière, le jeune ...
    ... Black et la couguar rousse pour lui emboîter le pas. Voulant le rattraper au-dehors, je casse un de mes talons, me tords la cheville et manque de m’étaler dans la rue devant le club. Le moteur tourne déjà quand je monte dans la voiture ; Alex démarre avant que j’ai fini de fermer la portière.
    
    Un silence glacial règne dans le véhicule pendant une bonne dizaine de minutes. Puis, soudainement, l’orage éclate et je suis traitée par mon mari detraînée, desalope, deputain qui se donne, corps et âme, en public, à tous les types qui passent. J’encaisse, la rage au cœur, des larmes dans les yeux. Je lui fais remarquer que c’est lui qui a insisté pour accompagner nos hôtes au club, et qu’il sait bien qu’une fois ma sensualité exacerbée, je suis très réceptive et capable de tout ! Il balaie mes arguments et insiste. Alors, à mon tour, je craque et lui reproche ouvertement près de deux ans d’infidélités avec la femme de son patron. Il se tait d’un seul coup !
    
    Redoutant son contact dans le lit conjugal et même, vu son état extrême, des violences physiques, je me couche et dors (mal) sur le divan du salon, à l’endroit même où j’avais pressenti ses liens charnels avec Camille. Monsieur me réveille le lendemain matin en préparant son petit déjeuner. Je feins de dormir et réfléchis. Je me décide : je vais le quitter, au moins pour quelques jours. J’attends qu’il soit sorti pour sa partie de tennis, appelle Sandrine pour lui demander asile. Pas forcément enchantée, à en croire le son de ...
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