Camille, délivre-moi du mâle
Datte: 10/11/2020,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
hplusag,
couleurs,
danser,
fsoumise,
dispute,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
69,
confession,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... Camille et moi l’écoutons, lui posant des questions. Cette fois, libérée des tâches de maîtresse de maison, je peux y participer. Je trouve Alex curieusement en retrait. Géopolitique, expositions artistiques en cours, gastronomie… notre conversation est riche et variée. Notre – excellent – repas achevé, nos amphitryons nous disent de les suivre, nous allons près de Versailles. Pendant le trajet, nous n’échangeons avec mon mari que quelques banalités. Je le sens très tendu.
À notre arrivée au club duRR, nous sommes accueillis par une bimbo aussi peroxydée que siliconée. Je suis immédiatement frappée par l’atmosphère que donnent les deux seules couleurs de l’aménagement intérieur : le rouge et le noir. Les profondes moquettes et les lumières, tamisées, sont rouges ; le mobilier et les parquets sont noirs. Le patron, un homme jovial d’une quarantaine d’années, tombe dans les bras de Camille et Dominique. Je me dis qu’ils doivent venir ici plus fréquemment qu’indiqué. Derrière l’immense bar s’activent deux créatures du style de celle de l’entrée. Occupée par quelques couples, une vaste piste de danse, encadrée par deux couloirs, jouxte le bar. La musique est furieusement rétro. L’assistance est, à légère majorité, masculine ; des tables sont disséminées entre le bar et la piste. Le maître des lieux nous installe à l’une des rares d’entre elles qui soit libre en nous indiquant que la soirée n’a pas encore vraiment commencée, et une des filles du bar, fort peu vêtue, vient ...
... prendre notre commande. Je suis surprise par les tenues des femmes autour de moi, légères et très sexy. Dominique m’explique que la règle d’admission est au minimum d’une femme avec deux hommes, et que seuls, ceux-ci ne peuvent pas entrer.
Le patron de la boîte nous propose une visite de sonroyaume, qu’Alex et moi acceptons bien volontiers. Nous empruntons un des deux couloirs qui partent de la piste de danse et longeons une dizaine de salles qui me plongent dans un océan de perplexité. La première, la plus grande, a une immense table moquettée en son centre, grande comme deux fois un billard, et de multiples petits strapontins autour. La seconde, minuscule, a un mur en bois percé de quatre trous avec un banc dessous. Les autres, plus ou moins grandes, sont des alcôves plus ou moins éclairées ; la plupart sont séparées du corridor par de grandes baies vitrées. Notre guide nous explique que certaines d’entre elles peuvent être fermées de l’intérieur si nous voulonspréserver notre intimité. Dans l’une d’entre elle, une grande blonde suce un homme pendant qu’un autre la pénètre en levrette. Je n’ose pas m’arrêter trop longtemps pour les regarder.
— La fête commence ! nous dit le propriétaire des lieux, d’un air entendu.
Tout au bout, il y a une immense salle de douches communes ceinte de lavabos, et un jacuzzi de taille relativement modeste. En revenant de l’autre côté, presque symétrique, avec d’autres salons. Je remarque une pièce avec une grande table ronde, des anneaux ...