Camille, délivre-moi du mâle
Datte: 10/11/2020,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
hplusag,
couleurs,
danser,
fsoumise,
dispute,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
69,
confession,
Auteur: Elodie S, Source: Revebebe
... remonte vers ma hanche, l’entraînant avec elle. Elle dépasse ma jarretelle, saisit le bord de mon string, le fait glisser, avec une infinie douceur, tout au long de mes cuisses, jusque sur mes chevilles. Il remonte ma robe jusqu’à ma taille et, tout en la retenant, s’éloigne quelque peu pour admirer ma croupe qu’il regarde longuement.
— Tu as un cul à inspirer un peintre !
Puis il se colle contre moi, me malaxant les fesses avec application. Ses caresses sont fermes et douces ; il est bien moins pressé qu’Alex ! Alex, que je vais tromper pour la première fois depuis que je l’ai épousé. Il se glisse entre mes cuisses ; je m’écarte un peu, trahissant mon abandon, en bas et porte-jarretelles, la robe roulée sur la taille, en face d’un chef d’œuvre. Ses doigts glissent sur mon bas-ventre, effleurent mes grandes lèvres, battent en retraite vers mon anus, repartent vers mon mont de Vénus. Des ondes irradient mon bas-ventre, je me sens devenir source ; il palpe mon humide reddition, je m’arque boute. Tendant les fesses vers lui, je lui crie d’une voix rauque que je ne me connais pas :
— Venez, prenez-moi, je vous veux en moi !
D’une main, il se dénoue ; de l’autre, il continue sa langoureuse exploration de mes trésors de femme, agaçant mon bouton qui se cabre d’envie. Avec la lenteur calculée d’un homme qui sait se contrôler, il se glisse en moi, me pourfend, m’ouvre à lui. Millimètre par millimètre, je le sens progresser en moi, écartant mes muqueuses. Il s’enfonce ...
... si loin que j’ai l’impression qu’il atteint mon utérus. Et, lorsque je sens ses bourses battre à l’entrée de ma grotte, il s’arrête, immobile et tendu. Je me sens comblée au sens littéral du terme, toujours sous le regard troublé du jeune homme au chapeau. Instant marquant pour moi, car jamais un homme n’était resté ainsi immobile, aussi longtemps figé en moi, semblant gonfler encore dans mon intimité. Je n’en peux plus d’attendre et amorce un dandinement léger quiréveille mon amant. Me saisissant aux hanches, il entame de puissants coups de reins, qui me projettent en avant et font danser mes seins. Sous ce pilonnage intensif, j’éclate vite de plaisir dans un spasme profond ; je me sens ruisselante comme rarement avant. Il ralentit un peu, maître de sa puissance, s’échappant de mon corps pour mieux s’y engloutir. Il attend que mon souffle se soit un peu apaisé, puis reprend ses assauts. Je me sens la pouliche d’un fougueux étalon dont les coups de boutoir m’emmènent au firmament. Je sens à nouveau dans mon ventre monter les ondes du plaisir, Il accélère son rythme ; nous crions de concert et nous basculons en avant sur le dossier du divan, encastrés l’un dans l’autre.
Lorsqu’il retire de moi, je reviens sur la terre, me relève, ôte le chiffon enroulé sur mes reins, qui fut jadis une robe. Il se rhabille vite, me prend par la main, me regardant avancer, presque nue, d’une démarche ondulante du fait de mes talons et des humeurs intimes qui suintent de mon bas-ventre. Nous ...