La clinique Physir
Datte: 08/11/2020,
Catégories:
fh,
couple,
médical,
amour,
pénétratio,
fdanus,
hdanus,
sf,
amourdura,
Auteur: Macapi, Source: Revebebe
... mon clitoris tendu à l’extrême. Je veux me soulager, à tout prix. Le but de ma présence ici m’échappe. Je veux du plaisir, jouir, exploser, crier, libérer cette formidable tension accumulée dans mon corps et dans mon ventre. Quelle surprise lorsque ma main se heurte à un obstacle. Une partie de la sonde m’empêche de me caresser. J’en gémis de frustration. Je tente de compenser en caressant le reste de mon corps, mais je me heurte à tous ces artifices, qui me procurent du plaisir en vibrant contre ma peau, mais dont le contact est assez désagréable par l’extérieur.
Je comprends que je n’ai pas le droit de me procurer mon propre plaisir. Mon corps ne m’appartient plus. J’en pleurerais de rage si la vibration ne continuait pas à me procurer un plaisir toujours plus intense, sans pourtant atteindre le seuil critique au-delà duquel je partirais au septième ciel. Douce torture qui me fait perdre la notion du temps. Même mes gémissements sont agréables, ma bouche étant également stimulée de l’intérieur.
Enfin, les vibrations s’arrêtent. C’est Tara qui me débarrasse de toutes les électrodes et sondes. Elle agit lentement, attentive à la moindre réaction de plaisir, comme si elle voulait éviter qu’un orgasme me submerge. Quelle garce ! Pourquoi me fait-elle languir ainsi. Je me tortille dans l’espoir d’entrer en contact avec ses doigts. J’y parviens et cesse aussitôt mon manège. La sensation de son gant sur ma peau est très désagréable, ce qui m’indique très clairement que ...
... je ne dois pas recommencer, que le plaisir se trouve ailleurs.
Je ne réfléchis plus, je ne fais que ressentir ma peau, mes muscles, mes chairs intimes. Mes yeux sont fermés et ne voient qu’une lumière intense qui pulse au rythme de mon plaisir. Je n’ose plus bouger, de peur de faire cesser cet instant magique.
Soudain, je sens un corps sur le mien. Une seconde d’hésitation, puis je reconnais Alexis, mon homme. D’un coup, il me pénètre tout en m’embrassant passionnément et en me pétrissant les seins à deux mains. C’est comme si trois vagues de plaisir simultanées me parcourraient, provenant de ces trois parties de mon corps. Trois orgasmes si forts que je me retiens au corps d’Alexis en serrant fort ses fesses pour qu’il me remplisse encore et encore. Je crie mon plaisir dans sa bouche, je refais inlassablement un ballet langoureux avec sa langue. Mes mains caressent toute la peau que je peux atteindre, encouragée par les gémissements de plaisir qu’il émet à chacune de mes caresses.
Il effectue de vigoureux va-et-vient en moi. J’allonge la main et atteins ses bourses que je malaxe, je frôle son petit trou poilu au passage. Un sursaut de sa part m’incite à aller plus loin et j’enfonce un doigt en lui. Il me soulève alors et me couche sur le côté, sans lâcher ma bouche insatiable. Mon œillet ne tarde pas également à s’ouvrir sous la pression de son majeur. Je frotte mes seins sur sa poitrine pour y maintenir le plaisir. De son côté, il adopte un rythme lent et semble ...