-
Caroline et la famille (10)
Datte: 07/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Caroline1992, Source: Xstory
... que tu as arrêté avec la ceinture et que tu m’as donné les premières fessées, lui répondis-je avec un léger soupçon de honte. — Moi qui plaisantais quand je te disais que tu étais une fille qui aimait bien les fessées... me répond-il d’un ton ironique. Mon père remit sa main sur mes cheveux pour dégager mon visage et posa l’autre main sur le haut de mon cul. Je sentais ses doigts se déplacer et glisser le long de la raie de mes fesses par-dessus ma culotte. Son majeur seul parvint à se poser sur mon vagin et effleura mon clitoris, ce qui me donna des frissons et du plaisir à la fois. Il commença à faire plusieurs va-et-vient, caressant mon gros bouton durci et regardait mon visage râler de plaisir. Je m’abonnais totalement à lui et j’ouvris encore plus mes cuisses, l’incitant à ce qu’il me pénètre avec ses doigts. Seul son majeur se faufila sous ma culotte et me pénétra le vagin. A peine en moi, le doigt de mon père me procura un plaisir intense, et au plus, celui-ci entrait, et au plus, le plaisir augmentait. — Huuuummmm... OUUUUIIIIIIIIIII... criai-je de jouissance. Mon corps tout en entier se mit à faire des spasmes si forts que mon père se mit à bouger aussi. Il retira hâtivement son doigt de mon vagin et se mit à ...
... contempler le spectacle que mon sexe lui donna. — C’est énorme ma fille ! ÉNORME ! dit-il en se répétant sans cesse. De nombreux jets de mouilles sortirent de mon vagin bien que je portais une culotte et se projetèrent sur plusieurs mètres. Dans un premier temps, je fus moi-même étonnée de la puissance avec laquelle je venais de jouir, en sachant que ce n’était pas la première fois que l’on me doigtait, mais il fallait bien que je me rende compte de l’évidence. J’avais aimé que cela soit le doigt de mon père qui me pénètre et pas celui d’un autre. Mon père essuya son doigt sur ma culotte et il m’aida à me redresser. Il se mit également debout devant moi et je pouvais facilement apercevoir une grosse bosse sur son pantalon. Il avait lui aussi été émoustillé en me doigtant. Il mit ses deux mains brûlantes sur les joues de mon visage pour fixer mon regard sur le sien et il me dit d’un air évasif : — Va prendre une douche et ensuite, rejoins-moi dans le salon. Il va falloir que l’on discute toi et moi. Sans me donner plus d’explications, mon père quitta la chambre. Moi, je m’étais égarée un petit instant, regardant toute ma mouille s’écouler le long du mur de ma chambre prouvant à quel point je venais d’aimer ce qu’il venait de me faire.