Caroline et la famille (10)
Datte: 07/11/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Caroline1992, Source: Xstory
... parcourir mon fessier meurtri.
— Vas-y, papa ! Finissons-en ! Je suis prête, lui dis-je, confiante.
Ce qui était faux. Je n’étais pas prête à recevoir la moindre fessée sans risque de perde conscience. Je sentais comme des hématomes très durs dans mon fessier et la moindre secousse me faisait extrêmement mal.
— Tu es sûr de vouloir des fessées ? me demanda-t-il inquiet, en voyant la rougeur de mes fesses.
Je mis du temps à lui répondre et je lui ai dit :
— Qu’est-ce que tu veux faire d’autres ? d’un air étonné.
Il posa délicatement une main sur une de mes fesses et fit des va-et-vient très lentement, me caressant ainsi les des deux fesses tout en me disant :
— Je pourrais te faire des choses plus agréables, me dit-il d’une voix douce.
Je ne lui répondis pas et je ne fis aucun signe lui montrant que j’approuvais ce qu’il voulait me faire, mais mon père continua doucement ses caresses sur mes fesses. Il se mit à faire un monologue tout en me touchant les fesses de ses deux mains :
— Je suis désolé, Caroline. Je ne t’avais encore jamais vue sous cet angle. Tu t’es toujours cachée derrière ton caractère masculin que je n’avais jamais vu que tu avais un corps si féminin... me dit-il en regardant mon cul en long et en large.
— Tu as un cul magnifique. Il est large, volumineux, et il n’y a pas un pet de gras...
Il serra dans ses bras mon postérieur comme si c’était un oreiller et il y rapprocha son nez.
— Huuummm... et l’odeur qu’il y dégage est ...
... terrible...
Je ne bougeais pas. Je n’osais pas réagir. Je ne savais pas comment me sortir de cette situation. Je ne savais même pas si je voulais vraiment en sortir d’ailleurs. J’étais totalement ailleurs.
— Si tu ne veux pas, je ne veux pas t’y obliger, me dit-il avec déception.
Mon père se remit à caresser mes fesses avec une de ses mains, et de l’autre, il souleva mes cheveux pour voir mon visage. Il se doutait bien que j’allais être rouge de honte. Mais au point où nous en étions, je n’avais plus rien à perdre. J’avais accepté l’idée qu’il me voit ainsi et je tournai ma tête vers lui. Nous nous regardâmes droit dans les yeux, et même si je ne lui avais rien dit, il venait de lire en moi comme dans un livre avant ouvert.
— A voir ta tête de coquine, tu as l’air de vouloir. Mais je fais comment pour en être sûr ? me demanda-t-il.
— Regarde bien, papa ! Regarde bien... lui dis-je tout intimidée.
Mon père ne comprit pas dans l’immédiat, mais il finit par écarter mes fesses avec tous ses doigts et se pencha pour mieux voir.
— Waouh ! s’exclama-t-il d’un coup comme par surprise.
Il vit ma chatte entièrement trempée de ma mouille. Le tissu de ma culotte trempée entrait dans mon vagin, épousant ainsi les formes de mes lèvres. Je l’aidai en desserrant mes cuisses afin d’exposer au maximum mon vagin et une grande coulée de cyprine se mit à couler de mon vagin.
— Mais... ? Mais il y a longtemps que tu mouillais ? me demanda-t-il vraiment étonné.
— Depuis ...