Caroline et la famille (10) - Histoires de Sexe

Caroline et la famille (10)

CHAPITRE 10 : LE DOIGTAGE.

Mon père me redemanda d’enlever ma culotte et il fit mine d’armer son bras pour me mettre à nouveau une douloureuse fessée. Il gardait son bras en l’air, suffisamment longtemps dans l’attente d’une réponse qu’il savait que j’allais vite lui donner par crainte d’avoir mal. Je ne lui donnai aucune réponse oralement par timidité, mais je hochai ma tête en signe d’acceptation. Je posai mes mains sur ses cuisses pour m’aider à me relever et je me mis debout dos à lui, tant bien que mal à cause des courbatures.

J’avançai au fond de la pièce pour être le plus loin possible de lui tout en restant toujours dos à lui, et je commençais à déboutonner mon jeans. Au premier bouton que je retirai, le silence eut été brisé par le seul bruit que fit le bouton de mon jeans en s’enlevant. Je pus entendre mon père soupirer d’excitation. Mes mains toutes tremblotantes avaient du mal à retirer tous les boutons d’un coup, alors je les retirai un à un, doucement, entendent la respiration de mon père de plus en plus saccadée. Une fois tous les boutons enlevés, je mis mes mains sur mes hanches en agrippant mon pantalon et je fis glisser mon jeans délicatement au sol en dansillant du postérieur, dû au fait que mon jeans était très serré. J’étais pieds joints avec mon pantalon à mes chevilles. Mon père relâcha fortement sa respiration après que je me fus donné en spectacle devant lui.

Je levai mes jambes à tour de rôle pour débarrasser mes chevilles de mon jeans en ...

... gardant mes chaussures à talons au pied, et resta bêtement sur place, me demandant comment j’allais faire pour retourner voir mon père. Je ne voulais pas que mon père me voit, le visage rougi de honte.

— Caroline ! Tu viens ?! s’exclama mon père.

Comme à chaque fois que l’on me surprenait, j’avais tendance à prendre des décisions trop hâtives et non réfléchies. Je m’étais tournée face à lui en laissant involontairement un pied devant l’autre, lui offrant ainsi un déhanché fortement prononcé. Cette posture me donnait une silhouette des plus féminines qu’il soit de par la largeur démesurée de mes fesses et de par ma culotte, épousant parfaitement mon triangle génital. En avançant vers mon père, je me rendis compte que ma démarche n’était pas naturelle et qu’on avait l’impression que je marchais sur des œufs, balançant fortement mon cul à gauche et à droite à chacun de mes pas. Cela était dû à la peur et aussi au fait que je mettais ma tête en avant pour que ma chevelure cache au maximum mon visage.

Arrivée face à lui, il prit mes mains et me manipula un peu pour me remettre dans la position initiale que j’avais quand il me mettait des fessés. Je me mis sur la pointe des pieds pour bien m’installer sur lui à cause des courbatures que j’avais dans le dos dû au fait que tout à l’heure, j’étais resté trop long dans une mauvaise posture. Mes talons ne touchaient presque plus le sol, et mes fesses étaient si proches de sa tête que je pouvais sentir la respiration de mon père ...