1. Des fourmis et des loutres


    Datte: 07/11/2020, Catégories: fh, ffh, hplusag, frousses, cocus, inconnu, forêt, Collègues / Travail strip, Oral délire, Humour Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... voyais jamais ces satanées bestioles ; alors j’ai posé un piège photo.
    
    Je vais faire un malaise.
    
    — Tu sais que ce bidule réagit aux mouvements : un déclenchement automatique par seconde ; si la présence est continue, il prend une vidéo.
    
    Elle laisse passer quelques instants.
    
    — J’ai trouvé autre chose que des loutres, termine-t-elle en me montrant l’écran.
    
    Je vois d’abord la petite clairière traversée par un écureuil. Puis deux jeunes femmes, une rousse et une brune s’y arrêtent. Les images muettes font un petit film parfaitement lisible, un peu comme les courts métrages du début du XXème siècle ;Histoires sans paroles, mais en couleurs.
    
    — C’est fou ce qu’on voit bien les détails !
    — C’est un nouveau modèle, HD ; l’image est très belle, me confirme ma collègue.
    
    Les jeunes femmes sont assises et examinent une carte IGN. Soudain elles semblent s’affoler, se lèvent et frictionnent leurs bras et jambes, ôtent leurs vêtements.
    
    Les images défilent, et j’entre en scène. Zorro est arrivé ! Je vole à leur secours. Je lutte contre les féroces bestioles, je soigne, je calme. Et les choses dérapent. Elles me désapent, je ne mets guère d’énergie à résister et me retrouve vite à poil, un beau stylo à yaourt au bas du ventre.
    
    Allongé sur le sol, j’ai les deux randonneuses agenouillées à mes côtés, les fesses tournées vers mon visage. Mes mains vadrouillent sur les rondeurs de rousse et de brune, mes doigts semblent s’égarer dans de douces et secrètes contrées. Les ...
    ... deux dryades s’embrassent ; leurs lèvres se rejoignent autour de ma barre à mine. De temps à autre, l’une d’elles vient jouer un petit air de flûte sur le bout du gland.
    
    — Là, ça change, me dit ma collègue.
    
    Elle me regarde en coin ; je rougis comme une pivoine.
    
    Je suis toujours allongé sur le dos ; j’ai la brune plantée sur le jonc tandis que la rousse est assise sur ma bouche. Les deux jeunes fées semblent trouver l’expérience intéressante, et à voir leurs visages, hautement bénéfique. Puis la rousse se retrouve sur mon nœud et la brune sur ma bouche. Les deux randonneuses, face à face, s’embrassent et se caressent les seins. Le changement de position permet de voir le petit manteau de latex qui protège Monsieur Popaul ; prévoyantes, les coquines : elles ont pensé auK-Way au Cas-Où.
    
    Nouvelle prise de vue ; agenouillées côte à côte, croupes relevées, elles me font l’offrande de leurs fesses.
    
    — Tu les prenais par…
    — Non, je leur contais levrette. Elles devaient encore faire du chemin, alors j’ai évité cette voie : ça gêne pour faire de longues marches.
    — Ben, t’es un galant homme qui tient la forme, commente mon amie.
    — Vivre au grand air donne la santé, dis-je d’une petite voix.
    
    Les scènes suivantes me montrent passant de l’une à l’autre, les tenant par les hanches et m’activant avec ferveur.
    
    Elles ont retiré le préservatif. Nous sommes tous trois agenouillés face à face ; elles m’astiquent la tige et me caressent les burettes. Je balance la purée sur ...
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