1. Gloria


    Datte: 04/11/2020, Catégories: fhhh, extracon, inconnu, sauna, Oral pénétratio, Partouze / Groupe totalsexe, bourge, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... des mondes. Franchement, j’ai un peu la trouille. Et même beaucoup !
    — Ne vous inquiétez pas, ils sont gentils, mes grands gaillards. Vous verrez, tout se passera bien ; je veillerai au grain.
    — Je n’en doute pas : vous allez veiller sur votre "investissement" !
    
    Il rit posément :
    
    — Exactement, vous avez tout compris !
    — Je n’en doute pas. Bon, je vais y aller, à tout de suite.
    — À tout de suite, Gloria.
    
    Deux minutes plus tard, je rencontre Didier qui m’attend dehors ; il me fait entrer dans le sauna par une autre porte. Je suis à présent dans une sorte de local technique.
    
    — Vous voici dans le sanctuaire du sauna, son centre névralgique secret.
    — Le Saint des Saints, en somme ? Ah, trois portes : des couloirs secrets, eux aussi ?
    — Que deux. Cette porte-là donne dans le fond de l’accueil. Bon, comment voulez-vous y aller ? Vous restez habillée ? En petite tenue ? Une serviette autour de vous comme une cliente normale ? Nue ?
    
    Un peu désorientée, je souffle du bout des lèvres :
    
    — Franchement, je ne sais pas…
    — Perso, évitez d’être trop habillée, car la température est élevée ; et de plus, l’humidité est forte, elle aussi. Là, vous avez des grandes serviettes ; ça ne me gêne pas si vous restez en lingerie par dessous, c’est à vous de voir.
    — OK.
    — Bon, je retourne dans le sauna. Quand vous serez prête, ouvrez légèrement cette porte, celle de l’accueil ; je comprendrai.
    — OK.
    — Vous n’êtes pas très bavarde…
    — Mettez-vous à ma place !
    
    Il pose sa ...
    ... main sur mon épaule ; curieusement, ce simple geste m’apaise.
    
    — Je comprends…
    
    Puis il part. Je décide de jouer le jeu ; je me déshabille entièrement, mets une grande serviette bleue autour de moi, puis j’ouvre un peu la porte.
    
    Aussitôt, Didier arrive. Il me fait signe de venir, de m’approcher d’une grande fenêtre à côté d’une armoire. J’esquisse un mouvement de recul en découvrant des hommes dans le grand bain à bulles. Il me souffle à l’oreille :
    
    — Pas de problème, c’est une glace sans tain : ils ne nous voient pas.
    
    Troublée, je murmure :
    
    — Vous êtes sûr ?
    — Absolument sûr et certain. Alors, vous en pensez quoi, de mes athlètes ?
    
    Je regarde à nouveau, et plus assidument. Je reconnais que j’ai vu nettement pire dans ma vie ; ça me change beaucoup de mon Luc de mari ! Tous bien baraqués, pas un poil de graisse, enfin, de ce que je vois. Soudain, deux se lèvent presque en même temps. Un me fait face, l’autre me tourne le dos, me présentant son beau petit cul bien ferme. C’est vrai que j’en mangerais ! Quant à l’autre que je vois à présent bien de face, c’est tablettes en chocolat et lance à incendie.
    
    — Eh bé…
    — Je ne vous le fais pas dire !
    — Honnêtement, je croyais que ce genre de mec n’existait que dans les séries télévisées ou les films.
    
    Didier sourit, me regardant du coin de l’œil.
    
    — Et où croyez-vous que les producteurs recrutent leurs acteurs et figurants ? Dans leurs imaginations débridées ?
    — C’est vrai… Eh bien, rien que pour ça, ça ...
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