Au temps de l'amour courtois
Datte: 02/11/2020,
Catégories:
fh,
historique,
Auteur: André 59, Source: Revebebe
... a envoyées pour prendre soin de lui. Il est trop épuisé pour esquisser la moindre tentative de résistance alors qu’elles détachent son baudrier, délassent son haubert, font choir ses chausses, lui enlèvent sa chemise. En quelques instants, il est nu et allongé sur des draps frais. Avec précaution, elles appliquent baumes et onguents et nettoient ses plaies.
Maintenant elles devraient partir. Leur tâche est accomplie, mais leurs mains s’égarent sur sa peau. L’une d’entre elles ose même déposer un baiser sur ses lèvres. Pourquoi ne pas aller plus loin ? Sa compagne referme la porte avec précaution et tourne la clé dans la serrure. Toutes deux font glisser leur robe et s’allongent de chaque côté du lit. Elles ne le soignent plus, elles le caressent. Et le jeune écuyer bande d’éclatante manière. Sous leurs yeux étonnés, son sexe se dresse et semble les appeler, animé d’une vie propre alors que le garçon gît inconscient, littéralement assommé par la fatigue. Elles savent qu’elles doivent rester vierges pour leur mariage, mais l’une d’entre elle ne manque pas d’imagination et d’initiative. Elle prend en bouche le jeune vit et le suce avec gourmandise juste quelques instants, en le poussant de plus en plus loin dans sa gorge, jusqu’à presque s’en étouffer. Par bravade, l’autre fait de même.
Puis après un moment d’hésitation, la première se décide à le chevaucher. Avec précaution, sa compagne empoigne le sexe dur et le lui place entre les fesses, visant le petit anneau plissé ...
... pour qu’elle s’embroche dessus, très, très lentement. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier, jusqu’à ce que le phallus puisse librement coulisser en elle. Son plaisir monte tant que sa compagne doit lui plaquer sa main sur la bouche pour qu’on ne l’entende pas gémir. Quand elle se lève, pantelante, le sexe est toujours là, dressé, dur, impérieux. Au tour de la seconde jeune femme de goûter ce plaisir interdit.
Son amie lui tend à son tour cette tige de chair brûlante et la guide en elle. L’anus serré cède lui aussi à l’intromission du gland puis du membre tout entier qui progresse impitoyablement entre les deux globes de peau blanche. Elle se cambre, agite sa croupe, décidée à le faire capituler. Et il gicle bientôt dans ses entrailles sa semence. Ses seins aux pointes durcies sont douloureux, ses yeux sont embrumés de larmes et ses cheveux blonds trempés de sueur tant elle a mêlé plaisir et douleur. Combien de temps cela a-t-il duré ? Une éternité ou quelques minutes ? Elles ne sauraient le dire. Étonnées de leur propre audace, elles essuient prestement les coulées de sperme qui maculent les draps, font une toilette soigneuse, se recoiffent, lissent leur robe et déposent un chaste baiser sur son front. Lorsqu’elles sortent, nul ne pourrait se douter de ce qui s’est passé. Elles iront à l’autel, vierges et innocentes. Quant à Enguerrand, tout juste va-t-il se réveiller d’un sommeil quelque peu agité, perclus de courbatures supplémentaires.
Sans qu’il le sache, sa ...