1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°995)


    Datte: 30/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... douleur, un mélange des deux ou ni l’un ni l’autre. Au bout d’une demie heure de ce traitement, où elle avait contenu tout signe extérieur de ce que lui procurait tous ces attouchements, ces claques, tout cessa soudain, et on la laissa là sans la détacher, sans la libérer de ses nombreuses contraintes.
    
    Les cinq amis, qui en avaient parlé rapidement au moment où Monsieur le Marquis les avait invités à ce week-end improvisé, firent alors cercle autour de soumise Nééra, qui, malgré sa tête et ses yeux baissés, les avait vu se rapprocher d’elle, tels des prédateurs autour d’une proie. Et après tout ce qu’elle avait vu durant cette soirée, elle eut peur, malgré la confiance qu’elle avait placée dans le Châtelain. Elle se mit à trembler. Volontairement le Maître se plaça derrière elle et ne fit aucun geste pour la réconforter. Devant elle, Monsieur De Santès tenait un bandeau, sa femme un casque, Monsieur de la Verdière un bâillon anneau, et enfin son épouse des pinces. On lui mit en premier lieu le bandeau, puis tous les accessoires dans l’ordre cité précédemment. Elle se demandait où irait les pinces vu qu’elle en avait déjà posées sur les tétons. Et quand elle les sentit se refermer sur ses lèvres intimes, un son guttural de douleur sortit de sa bouche maintenu de force ouverte. Elle était complètement perdue, et avait l’impression de ressentir la présence de centaines de personnes. Puis elle ressentit plusieurs mains sur elle. Elle n’était pas attachée alors, et elle ne ...
    ... pouvait s’empêcher de se tortiller pour essayer de leur échapper. Des mains jouèrent avec ses quatre pinces, deux à deux. Des doigts la pénétrèrent dans la chatte et dans son cul. Elle avait été allongée au sol, elle gigotait tellement qu’on décida de l’attacher fixant ses liens dans des anneaux au sol. Un sexe mâle la pénétra et la besogna sans ménagement à grands coups de reins puissants, alors que ses deux autres orifices étaient aussi pénétrés...
    
    A son tour, elle devenait folle, mais limite paniquée. N’ayant pas vu le Maître dans son champ de vision avant qu’on lui fit perdre la vue, elle s’imaginait qu’Il avait quitté la pièce et l’avait laissé en pâture à ces centaines de personnes venues d’elle ne savait où. Bien que nouvellement arrivée, elle savait déjà qu’elle ne devait pas jouir sans autorisation. En même temps, dans l’état où elle se trouvait, elle ne pensait pas pouvoir avoir le moindre orgasme. Elle se pensait bien trop paniquée ! Jusqu’au moment où on lui mit des doigts dans la bouche en lui ordonnant de bien les nettoyer avec sa langue, et elle comprit vite qu’elle était finalement trempée et donc bien excitée par la situation. Elle en eut d’autant plus la preuve lorsque l’ordre « Jouit chienne » tomba et qu’elle eut l’orgasme le plus formidable de toute sa vie. On la laissa alors reprendre ses esprits à son rythme. Lorsque ce fut fait, on lui enleva la totalité de ses accessoires, en finissant par le bandeau. Là elle eut la surprise de se retrouver seule avec ...