La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°995)
Datte: 30/10/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... le sort de ceux qui appartenaient depuis un certain temps au Maître Vénéré. En fait excitée, ça soumise Nééra ne pouvait le contrôler et elle l’était incontestablement. Mais elle doutait de pouvoir être capable un jour de subir ne serait-ce qu’une toute petite partie de tout ce qu’elle avait pu observer ce soir…
Comme s’ils étaient reliés télépathiquement, les trois hommes éjaculèrent quasi en même temps dans un tonnerre de longs râles jouissifs, au moment même où les Dominas réussissaient à faire sauter les deux dernières pinces. Mais la soumise avait subi sa sanction courageusement et sans faute. Cependant, les Dames ne voulurent pas rester les seules à ne pas avoir droit à la jouissance. Elles s’assirent donc dans de larges fauteuils confortables, les cuisses très largement écartées, et elles claquèrent des doigts pour que soumise Laïs MDE et esclave Phryné MDE viennent à quatre pattes entre leurs jambes avec l’obligation de les satisfaire. Elles décidèrent d’en faire un nouveau jeu. Celle des deux soumises-chiennes qui mettrait le plus de temps à les faire jouir serait sanctionnée. Elles se mirent alors allègrement à la tâche, agitant leur langue, léchant, suçant, aspirant tant qu’elle pouvait. Mais Madame de Santès, qui était encore excitée par la sanction qu’elle avait infligée à l’esclave, et par tout ce qui s’était passé ensuite, jouit très rapidement en lâchant sa cyprine sur le visage de la femme MDE. La chienne soumise Laïs MDE mit bien plus de temps à accomplir ...
... son travail, étant entre les cuisses d’une Maîtresse qui était très peu clitoridienne et qui avait, pour jouir rapidement, besoin de pénétration vaginale profonde. Laïs MDE fut donc sanctionnée.
Comme l’esclave Phryné MDE précédemment, elle fut privée de tous ses sens. On lui passa des manchettes qui possédaient un anneau. On la conduisit à un endroit de la pièce d’où pendaient des crochets au bout de chaînes accrochées au plafond. On les descendit pour les y attacher et on les écarta de manière à ce que ses bras fussent maintenus en extension, bien écartés. On lui fixa également une barre d’écartement aux chevilles, réglée de manière à ce que ses jambes écartées fussent douloureuses. Sans qu’elle sache de qui cela venait, elle reçut cinquante coups de martinet de face et dos, les lanières atteignant sans distinction toutes parties de son corps, y compris les plus sensibles. Lorsque cette première partie de la sanction fut terminée, les chaînes furent descendues et on l’allongea à même le sol sur le dos. Tous, que ce soit le Maître des lieux ou ses Invités, la caressèrent de leurs deux mains, mais parfois, l’une d’elle claquait à une ou plusieurs reprises la peau qui se trouvait sous elle. La soumise Laïs MDE était très excitée, elle était dans l’incapacité de savoir combien de personnes la touchaient, combien de claques tomberaient à la fois, ni où, ni quand. Cela la rendait folle, l’empêchant totalement de dire de manière affirmative si elle ressentait du plaisir, de la ...