1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°995)


    Datte: 30/10/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°994) -
    
    - Je n'avais pas d'idée précise, mais que diriez-Vous de lui posséder son cul de chienne, qui je suis sûr, ne demande que ça ? À moins que notre ami ne veuille pas de sa bouche...
    
    Et sur la réponse de Monsieur de Santès qui confirma apprécier une bonne bouche, chaude et humide à baiser, les hommes se mirent en place. La jeune femelle fut allongée sur une table réglable en hauteur, et fut ainsi mise à la bonne hauteur pour que Monsieur de la Verdière puisse la besogner sans souci et de manière confortable, de même pour les deux autres Dominants. Sauf que Monsieur le Marquis, ayant choisi réellement un sexe en plastique d’une taille hors norme, préféra s’asseoir sur un tabouret bas, pour ne pas gêner son ami. Ce fut d’ailleurs Lui qui commença son intromission. La soumise reçut l’interdiction de jouir, de crier ou même de gémir. Il fut cependant assez doux avec la chienne fautive. Même si tous les culs avaient été travaillés avant l’arrivée des Invités, cette queue de belle taille n’aurait pu s’enfoncer sans préparation. Il prit donc soin d’y aller progressivement, d’abord avec un, puis plusieurs doigts mais aussi en lubrifiant de gel le gode. En revanche, lorsqu’Il jugea le trou assez assoupli, Il enfonça doucement mais inexorablement le vit factice lubrifié, sans s’arrêter jusqu’à ce qu’il fut enfoncé bien à fond dans ses entrailles. Alors seulement le Maître gagnant s’enfonça ...
    ... centimètre par centimètre dans la chatte déjà baveuse de la soumise, en même temps que le troisième homme s’enfonçait au plus profond de sa gorge. D’un signe de tête commun, ils se mirent tous à bouger en même temps, provoquant des vagues de plaisirs indescriptibles que la femelle avait bien du mal à contenir.
    
    Alors qu’elle se faisait besogner, baiser, et enculer, quand les deux Dominas pensèrent qu’elle était proche de la jouissance, et d’un commun accord, elles posèrent de petites pinces crocodile tout autour des tétons déjà pincés. Puis, avant que ces Messieurs ne se vident les couilles, elles attrapèrent chacune une cravache, s’ingéniant à essayer de les faire tomber du morceau de cuir plat de l’instrument. La soumise avait toutes les peines du monde à ne pas gémir, surtout qu’elle ne pouvait pas serrer les dents, au risque de blesser la queue bien gonflée qu’elle avait en bouche. Elle était traversée par mille sensations différentes, entre la douleur dans ses seins et le fait d’être si bien remplie dans tous ses orifices. Monsieur le Marquis, qui avait voulu punir doublement la femelle pénitente en ne lui accordant pas la chance d’être honorée par Sa noble verge, ni de pouvoir jouir, avait appelé soumise Nééra pour qu’elle Le suce pendant qu’Il jouait avec le sexe factice dans le fondement qui en était investi, tout en lui exigeant qu’elle regarde bien ce qui se passe. La soirée avançait bien, et elle ne savait pas trop si elle devait avoir peur ou être excitée et envier ...
«1234»