1. La mère et ses deux filles. (3)


    Datte: 30/10/2020, Catégories: Hétéro Auteur: zebre222, Source: Xstory

    ... queue était tendue et mon bas-ventre douloureux à force de désir encore inassouvi.
    
    Elle ouvrit les yeux pour me regarder et comprit très vite que j’étais encore très excité et que j’étais capable de la dépuceler sans ménagement. Cette idée semblait la faire rêver. Elle me lança un superbe sourire aguicheur en me disant, dans un souffle :
    
    — Dépucèle-moi à la levrette !
    
    Merveilleuse Feriel ! Même vierge et novice, elle trouve le moyen d’épater un homme comme moi ! Il ne m’est encore jamais arrivé de dépuceler une fille dans la position de la levrette. C’est une position qui ne permet pas de s’y prendre avec précaution et d’adoucir le dépucelage, déjà douloureux de nature. Mais rien qu’à cette pensée, je sentis mon membre, déjà à l’apogée de son développement, grossir un peu plus. Il était devenu monstrueux à force de désir et d’attente. Je lui ai dit :
    
    — D’accord ! Retourne-toi !
    
    Elle se mit à quatre pattes, la tête bien calée contre le dossier du fauteuil, les fesses très hautes et bien ouvertes. Comme cela, j’avais un aperçu panoramique de son cul et de sa chatte en même temps. Je me posais la question de ce qui était le plus plaisant : lui défoncer l’anus ou l’hymen. J’optai pour l’hymen en voyant des gouttes de liquide sortir de sa chatte. Elle continuait de mouiller et sa chatte déjà bien lubrifiée était en attente de la saillie. Je lui ouvris les grandes lèvres avec mes doigts et me mis derrière elle. Je présentais le gland bouffi et violacé de mon membre ...
    ... à l’entrée des petites lèvres et lui fis faire un lent mouvement de caresse des bas en haut en appuyant légèrement sur le clitoris et de haut en bas toujours en revenant sur le bouton. Elle aimait ces caresses faites avec mon sexe dur, mais doux au toucher. Elle commençait à bouger son fessier en suivant le rythme que j’imprimais à mes caresses. De temps en temps pour jauger la largeur du vagin et la résistance de l’hymen, j’introduisais mon membre avec délicatesse et allais buter sur l’hymen, sans forcer.
    
    Le vagin était très étroit, mais parfaitement lubrifié ; mon membre n’éprouvait aucune difficulté à aller et venir à l’intérieur ; il se refermait sur la partie de la hampe qui pénétrait et l’enveloppait comme une gaine. Je ressortais doucement et reprenais le mouvement de caresse sur la fente de ma belle et sur son clitoris. Elle continuait à gigoter et gémir de plaisir, se crispant de temps en temps quand elle sentait mon membre la pénétrer pour aller cogner légèrement sur son pucelage. Chaque fois elle s’attendait au choc qui allait la déchirer et lui faire atrocement mal. D’un côté elle avait peur du geste et de la douleur qui allait s’ensuivre, d’un autre côté elle était en attente de la saillie qu’elle voulait voir arriver immédiatement. Elle était en chaleur comme une chienne et rien ne pouvait y mettre un terme que cette pénétration brutale qu’elle souhaitait et craignait en même temps. J’étais conscient de son état d’esprit ; au mouvement de ses hanches, à ses ...
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