La mère et ses deux filles. (3)
Datte: 30/10/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: zebre222, Source: Xstory
... vagin ; elles ressortirent presque immédiatement pour aller rejoindre le liquide de ma maîtresse sur mon pubis, mes couilles et le lit. Feriel aussi se mit à jouir, de manière moins bruyante que nous : elle ramassa entre ses doigts une partie du liquide que sa jouissance a dégagé et me donna sa main à lécher. Je le fis avec empressement et avalais goulûment le liquide au goût salé et acide.
La maman s’affala brusquement sur moi, à bout de forces. Elle relâcha tous ses muscles et passa un long moment ainsi allongée, sa tête à côté de la mienne, sa poitrine étalée sur mon torse, le cul en l’air et les jambes écartées de part et d’autre des miennes. Elle releva la tête, me regarda avec un sourire qui avait perdu la tristesse qui l’habitait quelque temps auparavant. Elle semblait heureuse ; elle avait retrouvé son amant. Elle me donna un très long baiser plein d’amour et de reconnaissance. Elle se leva pour regarder le fruit du coït sur mon pubis et mes cuisses, eut un petit rire et se baissa pour lécher tout cela : mon sperme et son liquide mêlés. Elle avala quelques gorgées, puis, prise d’une soudaine inspiration, elle demanda à Fériel de venir en faire de même. Feriel n’hésita pas une seconde, montrant par là qu’elle était bien ...
... la fille de sa mère. Toutes deux entrèrent alors en compétition pour savoir laquelle allait avaler le maximum de liquide.
Quel spectacle délicieux !
Le ménage à quatre continua ainsi longtemps et donna à chacun de nous une grande part de bonheur, qu’aujourd’hui encore, des années après, je garde au fond de moi comme un trésor profondément enfoui. Dalila s’est mariée et est devenue une mère de famille responsable : elle me donne régulièrement de ses nouvelles par mail ; elle continue d’après ce qu’elle écrit à avoir quelques écarts de conduite, en prenant son pied avec sa copine, à l’insu de son mari.
Fériel a terminé ses études et est partie en France pour une post graduation. Elle a déniché un petit ami français bien gentil et doté d’un énorme sexe, m’écrit-elle.
— Tu sais il m’aime et me traite comme une reine ; sauf quand on fait l’amour, où là, je suis sa chienne ! Je prends tellement mon pied avec lui !
Fahima s’occupe maintenant exclusivement de son mari qui est tombé malade. Elle est devenue un peu bigote ; croyant que la maladie de son mari est une punition divine, à cause de son comportement immoral. Je crois qu’elle ne tardera pas à faire le pèlerinage de la Mecque pour laver tous ses péchés !
— FIN -