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La mère et ses deux filles. (3)
Datte: 30/10/2020, Catégories: Hétéro Auteur: zebre222, Source: Xstory
... gémissements saccadés, à ces paroles incompréhensibles qui sortaient de sa gorge, je savais qu’elle attendait avec impatience la poussée qui allait la délivrer. Moi-même je n’y tenais plus. Je sentais mon membre gonfler chaque fois qu’il pénétrait, même imparfaitement dans le vagin, chaud, doux et visqueux. Il voulait aller plus loin, sans plus attendre. Chaque fois que je me retirai, je le sentais déçu. Et puis n’y tenant plus, en la tenant par les hanches pour qu’elle ne bouge plus, je lui enfonçai brusquement mon membre tout au fond en défonçant la fragile barrière constituée par l‘hymen. Elle poussa un long cri de douleur et chercha à expulser mon sexe en retirant sa croupe. Je la maintins fermement et restai un long moment sans bouger pour l’habituer à la présence de mon engin dans son ventre. Puis je me mis à remuer doucement mon membre à l’intérieur de son vagin étroit sans encore entamer le mouvement de va-et-vient qui me fera jouir mais qui lui fera encore très mal. Le petit mouvement de mon membre tout au fond de son sexe eut pour effet de réveiller son désir et de le porter à son paroxysme. Elle recommença à gémir et à bouger sa croupe. Je lui pris la tête d’une main pour la retourner et l’embrasser ; elle me regarda par-dessus son épaule, me laissa l’embrasser sur la joue et sur le seul coin de la bouche auquel je pouvais avoir accès. Elle me fit un petit sourire d’animal pris au piège et me dit d’une voix à peine audible : « je t’aime ! » Je continuais ...
... à bouger doucement au fond de sa grotte ; puis je fis le mouvement de sortir tout doucement ; arrivé à l’endroit de la déchirure la douleur revint et elle cria, plus faiblement cette fois. J’entrepris de retourner au fond du vagin puis de revenir à l’entrée avec des mouvements d’abord très lents, puis de plus en plus rapides. Maintenant elle criait franchement, sans que je susse si c’était de douleur ou de plaisir. Probablement les deux à la fois. Je ne faisais plus attention à ses cris ; en fait ils émoustillaient mes sens et satisfaisaient mon côté pervers. Il me plaisait beaucoup qu’elle souffre sous mes coups de boutoir. Je ne prenais plus aucune précaution ; je l’empalais avec force et j’en tirais un immense plaisir. Feriel criait et moi j’ahanais comme un bûcheron. Tout à coup elle se mit à hurler qu’elle allait jouir et m’ordonnait de continuer, de ne pas m’arrêter. Je sentais à ses cris, sa respiration et le mouvement de ses hanches qu’elle n’allait pas tarder à avoir un orgasme très fort et qu’elle allait décharger toute l’eau de son corps. Cette idée mit le feu à tout mon corps ; je sentis mon membre gonfler et éclater au fond de son vagin ; en même temps qu’elle s’était mise à jouir et décharger, mêlant son liquide à mon sperme. Je continuai le mouvement, toujours violent, de va-et-vient de mon membre et eus encore deux ou trois giclées qui m’ont totalement vidé. Je me retirai de son vagin et vis mon membre tout rouge, taché de son sang. Un peu de sang se mit ...