La semaine passe. Et d'une
Datte: 28/10/2020,
Catégories:
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Auteur: Deborahborah, Source: Revebebe
... découvertes jusqu’à mi-cuisse sont un appel aux caresses, et mes cheveux bouclés en bataille laissent imaginer une nuit torride. Bref, j’ai tout de la femme disposée à être accessible.
J’arrive donc dans la cuisine sur la pointe des pieds, car le sol est froid. Je me sers un café et le déguste. Il me fait beaucoup de bien. Puis, une fois fini, je me mets devant l’évier afin de laver le peu de vaisselle de la veille. Il n’y a pas grand-chose, je n’en ai pas pour longtemps. C’est alors que je suis en train de nettoyer, que deux mains se posent sur mes hanches. Je sursaute lâchant la poêle dans l’eau.
— Ahhhh !
Mon cœur bat déjà à tout rompre. J’ai failli faire un infarctus. Je le sens, il est là derrière moi. Près. Si près. Tellement proche. Je sens son parfum, son odeur, son envie et il me la transmet instantanément. Je ne pourrais pas me soustraire, je vais me donner avec un plaisir intense, j’en ai trop envie. Ça fait si longtemps que je me retiens. Plus rien ne peut m’arrêter. Il dépose un baiser dans mon cou et ses mains déjà viennent caresser mon ventre.
— Bonjour, Déborah. Tu as bien dormi ? Hummm ! Que tu sens bon. Tu sens bon l’amour. Tu sens le sexe à plein nez. J’adore ton odeur.
Mon cœur s’emballe. Il va traverser ma poitrine et finir dans l’eau de vaisselle. Je pose mes mains sur le rebord de l’évier, tendant la croupe en arrière. C’est une invitation qu’il saisit au vol, alors que je me retiens pour ne pas tomber dans les pommes, tellement la ...
... montée d’adrénaline est forte et me tourne la tête. Mon mal de crâne a disparu en un éclair. C’est maintenant une fournaise qui me dévore le cerveau et le ventre. Je suis penchée en avant, mes seins ballotent dans le vide et rapidement ses mains les prennent pour les pétrir sans ménagement. Il les malaxe, les masse, les soupèse, joue avec mes tétons qui sont tendus à m’en faire mal. Puis ses grosses paluches glissent sous mon tee-shirt, le remonte pour libérer mes fesses cachées par la culotte.
— Pourquoi as-tu mis une culotte ? Tu n’en as pas besoin. Tu n’en mettras plus pour moi. Tu as compris ? Réponds !
— Oui ! dis-je dans un souffle. Sans même comprendre ce qu’il m’a demandé.
D’un geste brusque, il déchire les deux pans de ma culotte et la jette dans la cuisine. Je me sens déjà dégouliner. Ses mains caressent mes fesses, les écartent, les pétrissent.
— Non mais, quel cul tu as ! Il est si doux, si lisse, magnifique.
Il glisse un doigt par derrière et me colle un doigt dans la chatte. Mon tee-shirt posé sur mes reins, il me fait cambrer d’avantage. De l’autre main, il sort mes seins pours les mettre à nu. Ils pendent maintenant dans le vide. Il me doigte la chatte avec deux doigts sans vergogne et déjà j’ondule de la croupe pour l’encourager. Je me cramponne au rebord de l’évier. C’est au moment où je sens son énorme gland se placer entre mes lèvres que je pose ma tête sur mes bras afin de m’offrir d’avantage.
— Écarte bien les cuisses, ma belle, je vais te ...