La semaine passe. Et d'une
Datte: 28/10/2020,
Catégories:
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Auteur: Deborahborah, Source: Revebebe
Résumé : Dans le précédent épisode, je vous racontais comment Étienne, mon beau-père, a réussi à me posséder lors d’une soirée un peu arrosée.
Petit message aux lecteurs :Avant de continuer le récit de mes aventures, je vous rappelle que je ne suis pas une professionnelle de littérature et que c’est le plus sincèrement du monde que j’essaye de retranscrire ici les sentiments ainsi que les sensations vécues au cours de mes différentes rencontres. Les mots crus que vous redoutez parfois ont eu un rôle essentiel dans le développement de mes relations et de mon comportement vis-à-vis des hommes que j’ai rencontrés. Surtout au début, avec Étienne, mon beau-père, qui s’est avéré être un beau salaud et un vrai pervers. Pourtant, j’ai adoré vivre ses fantasmes et le suivre dans ses délires. J’espère que certains d’entre vous seront moins sévères et qu’ils prendront mes textes comme ils viennent et pour ce qu’ils sont. Je n’ai malheureusement pas assez d’imagination pour inventer des histoires et les retranscrire. Je vous souhaite à tous bonne lecture.
C’est en sursaut que je me réveille. J’ai la gueule de bois et un mal de tête pas possible. Je suis courbaturée de partout et j’ai l’anus en compote. Soudain, tout me revient. L’alcool aidant, j’avais cru un instant avoir vécu tout ça dans mes rêves, mais je me rends compte que tout est bien réel. Mon Dieu, qu’ai-je fait ? Je suis devenue folle. Je ne prends plus la pilule. Ça fait tellement longtemps que je la prends, que ...
... j’avais complètement oublié l’avoir arrêtée. Et si je tombais enceinte ? Comment l’expliquer à Pierre ? J’essaye de me souvenir quand nous avons fait l’amour pour la dernière fois. Plus d’un mois. Jamais il ne sera dupe.
Mon Dieu, quelle horreur ! Enceinte de mon beau-père, vous parlez d’une catastrophe ! Au fur et à mesure que je pense à ça, dans mon ventre une sensation me rappelle le plaisir que j’ai pris hier soir à me faire baiser et sodomiser par lui. Cette douleur dans mes fesses, qui me fait souffrir doucement, finit par m’exciter et me remémorer comment, pour la première fois de ma vie, je me suis fait prendre par-derrière, debout, comme une moins que rien. Je sens mon corps réagir à nouveau. Allez ! Il faut que ça cesse. Il ne faut pas que cela se reproduise.
Je me lève. Quelle heure est-il ? Neuf heures du matin. Il doit déjà être levé. J’ai peur de les croiser, lui et son regard de braise et surtout son…Non ! N’y pense pas, Déborah ! Il faut que tu lui parles. Que tu lui dises que c’est une erreur. Que tu le supplies de ne rien dire à Pierre. J’enfile un tee-shirt assez long, jusqu’à mi-cuisses, et un slip. Puis, pieds nus, je descends pour déjeuner. À chaque pas, je m’attends à le croiser.
Avec le recul, je ne me suis pas rendu compte que la tenue que j’avais mise me rend peut-être encore plus indécente que si j’avais mis de la lingerie fine. Ce tee-shirt laisse mes seins aller librement et balancer lourdement au rythme de mes déplacements. Mes jambes nues, ...