1. La semaine passe. Et d'une


    Datte: 28/10/2020, Catégories: fh, hplusag, extracon, grossexe, grosseins, groscul, vacances, fsoumise, hdomine, humilié(e), noculotte, fsodo, coprolalie, confession, Auteur: Deborahborah, Source: Revebebe

    ... m’enduit la chatte de mousse et commence à me raser. Je me mets à mouiller comme jamais ça ne m’était arrivé, excitée autant par l’humiliation de la scène que par les caresses qu’il me prodigue pendant tout ce temps. Il ne laisse qu’un petit triangle de poils très courts au-dessus de ma chatte puis me fait remettre à quatre pattes pour me raser les poils de la raie des fesses. Quand il a fini, il passe une crème rafraichissante puis commence à me doigter l’anus de plus en plus fermement. Je monte déjà au septième ciel quand il me remet sa queue dans la chatte en fourrant les deux pouces dans l’anus. Enfin il fait ce que j’attendais depuis le soir. Il m’encule à fond avec une force inouïe. Oui, j’adore dire qu’il m’encule. Parce que sodomisée serait un mot trop doux pour la bestialité avec laquelle il me défonce encore l’anus. Durant un long moment, il me laboure le fondement à grands coups de reins. Je hurle mon plaisir à en réveiller tout le voisinage. Je n’ai jamais autant joui, joui à en perdre connaissance. Au bout d’un temps que je ne pourrais quantifier, il finit par jouir dans mon cul, m’inondant de sa semence et me laissant choir sur la méridienne.
    
    Quand je reprends mes esprits il était parti. Le soir même, il vient dans ma chambre et me demande d’enfiler une nuisette qui devait appartenir à sa femme, et il me refait l’amour et il me sodomise à nouveau. Puis une autre fois dans la nuit. Il est increvable. Je me réveille le lendemain matin, à treize heures, ...
    ... complètement vidée, endolorie et l’anus complètement détruit. Je me lève tant bien que mal et vais prendre une douche. Je m’enduis l’anus de crème Nivea fin de l’hydrater, espérant que cela puisse calmer la douleur et le feu qui m’habite. C’est incroyable, cet état d’excitation permanente qui règne en moi depuis que j’ai recommencé à faire l’amour. On dirait que je suis en perpétuelle effervescence et que mon corps réclame sans cesse plus d’attention, de caresses et de douleurs. Comment me sortir de cette situation ? En ai-je seulement envie ? Et si Pierre l’apprenait ? Tant de questions qui, d’un coup, me viennent à l’esprit. Plus je me pose de questions, plus je sais que je ne pourrai résister à l’appel de la jouissance et des sens.
    
    Je reste la journée à glandouiller au bord de la piscine et Étienne ne rentre pas. Je mange donc un morceau et me recouche. Le lendemain matin, c’est une bonne odeur de café et de croissants qui me réveille. Il fait beau, il est tôt et je n’ai plus trop mal partout. Une belle journée s’annonce et la Nivea à fait son effet, je n’ai presque plus mal. Ouf ! Toute guillerette, je descends et trouve Étienne au fourneau.
    
    — Bonjour Deborah.
    — Bonjour.
    — Tu as bien dormi ? Bien reposée ?
    — Oui, très bien. Je suis en pleine forme.
    — Tant mieux. On va aller se promener et on faire la visite du coin.
    — Cool.
    — Je t’ai préparé une petite robe d’été et des petites baskets pour marcher et n’oublie pas ce que je t’ai dis ! Et sans soutien-gorge aussi, ...
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