Le meilleur de la famille (5)
Datte: 25/10/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Orchidée, Source: Xstory
... à tourner la tête. Deux jeunes femmes se déshabillaient au rythme lent de la musique, le dancefloor devenait scène de théâtre si près de nous que les yeux brillants des protagonistes pénétraient ma propre chair. On avait le choix entre attraper un torticolis ou rejoindre notre hôtesse sur la banquette ; je me retrouvai au milieu.
– C’est beau de voir deux femmes faire l’amour, hein ?
Le souffle d’Angélique flatta mon oreille, sa main emprisonna mon genou. Surtout ne pas bouger, ne pas inciter le serpent à remonter, faire semblant de rien, de profiter du spectacle, se contenter d’un vague hochement de tête pour réponse. Alertée par un léger coup de coude, Camille m’offrit un sourire en demi teinte ; innocent en apparence, le geste ne méritait pas de m’inquiéter.
Pourtant, sans tourner la tête, le regard de la cousine déviait du dancefloor comme si la promesse d’une nouvelle attraction la faisait saliver. Angélique remplit nos coupes, sa main en profita pour remonter le long de ma cuisse, le doute s’envola. Rassurée par mon inertie, décidée à ne pas me laisser le loisir de réfléchir, la vieille poussa son avantage en faisant semblant de rien.
Quand la paume se plaqua sur mon entrecuisse à travers le short, une force invisible me plaqua contre le dossier de la banquette. Camille tourna la tête cette fois, son regard me renvoya une image de moi inconnue. Le zip de ma braguette crissa si fortement que je m’attendis à devenir le centre de toutes les ...
... attentions.
Angélique, attentive à la scène sur le dancefloor, ne perdait plus de temps, sa main s’infiltra dans ma culotte. Une délicieuse chaleur me priva de toute volonté, dont celle de me défendre. Curieuse, la cousine souleva mes fesses de la banquette pour faire glisser mon short. La garce ! L’autre se contenta de sourire, toujours sans me regarder. Peut-être était-ce cela le plus dérangeant.
Je m’attendais à me faire astiquer le clito en vitesse, Angélique enfouit un doigt dans ma vulve. La sécheresse du contact se dissipa aussitôt au profit d’une heureuse moiteur, mon corps acceptait l’intrusion, la réclamait. L’avalanche de sensations m’interdisais de penser, la bouche de Camille s’imposa sur la mienne.
– Caresse ses seins, gronda une voix troublée.
Comme si elle en avait attendu l’ordre, la cousine détacha ma chemise.
– Embrasse-les, lèche ses tétons.
Directive, Angélique n’en finissait pas d’explorer mon intimité de fond en comble, de réveiller sa sensibilité. Le contact de la langue sur mes tétons me fit sursauter, puis le bruit de succion m’étourdit. La présence d’un doigt un peu plus profond en moi sema un doute de circonstance. Mon pucelage... Oh merde ! Qu’elle fasse n’importe quoi, mais qu’elle continue ! C’était trop bon.
Les yeux ouverts, je ne voyais plus rien. Me faire lécher les seins par la cousine, me laisser caresser par une vieille inconnue, tout ça en public, je n’allais pas me réveiller sans en avoir profité. Angélique débusqua mon clitoris d’un ...