1. Histoire de doutes


    Datte: 23/10/2020, Catégories: hh, fhhh, hplusag, cocus, inconnu, sauna, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, Oral pénétratio, fdanus, Partouze / Groupe yeuxbandés, Humour Auteur: Ari Duparc, Source: Revebebe

    ... l’étrier. Elle embrassait un des « docteurs » qui à son tour se faisait sucer par un second « spécialiste » à genoux derrière le fauteuil. Le troisième larron pénétrait l’anus de la « patiente » laissant au regard de tous, une vulve surmontée d’un petit triangle roux que je connaissais bien puisqu’il appartenait à ma femme.
    
    Et puis zut ! Épilogue :
    
    — Ouaou ! C’est hard, dis.
    — ….
    — Qu’est ce que t’as ? T’aimes pas ?
    — C’est ma femme.
    — Quoi ?
    — Je te dis que c’est ma femme qui est là sous nos yeux.
    — Quoi ! Ta femme ? Et bien mon cochon, elle ne se prive de rien !
    — Ouais et cela explique en partie les cassettes de la garde-robe.
    — Les deux mecs ensemble, tu veux dire.
    — Peut-être.
    — Tu les connais ?
    — Je crois les avoir rencontrés à une soirée d’entreprise, il y a longtemps.
    — Ah ça, pour entreprendre, ils entreprennent dis donc ! Donc ils te connaissent ?
    — Oui, pourquoi ?
    — C’est donc le moment. Passe le cordon et entre dans la danse. Elle ne voit quand même rien.
    — Pardon ?
    — Ben oui. Regarde comme tu bandes. Profites-en. C’est le moment de faire d’une pierre deux coups.
    — Je ne sais pas si j’oserais.
    — Allons, allons. Il y a bien deux mois que tu ne l’as plus touchée. T’en as pas envie, là ?
    — Allez, ouste. En piste. Je suis avec toi.
    
    Je m’avançais tout tremblant d’excitation vers la lumière. Après avoir passé le cordon de séparation, les trois complices se figèrent. M’ayant reconnu, ils se regardèrent avec ...
    ... un sourire et reprirent leurs activités. L’enculeur recula, me cédant la place. Ma forme était revenue. Je me sentais maintenant partie intégrale du scénario. Le petit trou béant de ma femme s’offrait à ma bite douloureuse qui se mit à forer son passage. Elle se tortillait dans tous les sens. Ses gémissements fusaient en sourdine, bloqués par la bouche du « docteur ». Mon cœur battait la chamade quand une ultime secousse concentra mon énergie vers une éjaculation si longtemps contenue. C’était comme si j’étais raccordé au courant triphasé. Je tremblais sans pouvoir m’arrêter.
    
    Les regards se précipitaient sur l’intimité de mon épouse après ce coït bestial. Elle restait dans la même position indécente, dévoilant la cascade de sperme qui sortait à chaque spasme de son anus resté ouvert.
    
    Une sonnerie stridente annonçait sans doute la fin du spectacle. Elle me donnait le mal de tête. Je me mis à crier :
    
    — Que quelqu’un arrête cela. C’est horrible. S’il vous plaît. Arrêtez ce vacarme !
    
    La sonnerie se tut enfin laissant place à la voix suave de mon épouse :
    
    — Mon Chéri. Tu me manques beaucoup. Pardonne-moi. Je voulais seulement te souhaiter une bonne nuit. Bisous, mon amour. Ah oui ! J’allais oublier. Mon frère passera ce vendredi reprendre son kit de célibat comme il dit. Il y a encore de l’eau dans le gaz avec sa femme. C’est cette boîte à chaussure qui se trouve au-dessus de la garde-robe. Je t’aime. À demain. Tûût, tûût, tûût. 
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