1. Histoire de doutes


    Datte: 23/10/2020, Catégories: hh, fhhh, hplusag, cocus, inconnu, sauna, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, Oral pénétratio, fdanus, Partouze / Groupe yeuxbandés, Humour Auteur: Ari Duparc, Source: Revebebe

    Bon, pour apaiser les consciences et surtout suivre le protocole du politiquement correct sachez, lecteurs bien aimés, que ce récit est une fiction. Par conséquent, les personnages sont fictifs, l’absence de préservatif l’est également et toute ressemblance avec des personnages connus ou inconnus relève du domaine de l’imaginaire. Ari change de style. Juste pour voir.
    
    La mise en scène
    
    Cela fait sept ans qu’on se connaît, dont cinq de mariage et trois, c’est l’âge de notre petit garçon. Un beau gamin du reste. Je m’en occupe. Tous les jours.
    
    Je suis entre deux boulots…
    
    Ma femme est superbe. Un peu grassouillette depuis la naissance du petit, mais très séduisante. Enfin bref, après sept ans, elle me fait toujours le même effet quand bien même le petit ventre resté accroché après l’hébergement bébé.
    
    Capricorne, c’est donc une « qu’a pris cornes ». Non, je rigole. Mais elle est très astrologique et y croit dur comme fer. C’est pourtant une cartésienne : je pense donc… voilà. Ce doit être le boulot : cadre sup. dans une multinationale.
    
    Mézigue, c’est cadre forcé dans une « multifamiliale ». Plutôt, pascalien : s’il fallait parier qu’elle n’a pas de petite culotte, je parierais qu’elle n’en a pas, car j’aurais plus de chance d’y placer une dextre à défaut d’y reluquer un brin, histoire d’enrichir ma collection d’images érotiques. Va savoir où ça s’arrête, mon lecteur bien aimé !
    
    Quoi ? Tu n’en sais rien. Bon, et bien nous serons deux, peut-être même ...
    ... plus.
    
    Voiture, boulot, dodo pour ma moitié. Il me reste donc vaisselle, école, dessins animés.
    
    Le soir c’est parfois oui, parfois non, la grippe, la fatigue et les ennuis au boulot. Pour ma part, scout toujours prêt. Je n’y peux rien. C’est comme ça. C’est de famille. Mon père aussi, à son âge, m’a parlé l’autre jour que le Viagra c’était pour les Américains et donc que les Français n’avaient pas d’utilité pour ce truc bleu si onéreux. C’est vous dire si c’est grave.
    
    J’ai bien pensé à Julie qui vient repasser le linge le mardi. Mais elle ne m’inspire pas trop. Sans raison. Pas le moindre frétillement. La mort quand je la regarde.
    
    La lessive fait partie de mes qualifications. Je vois passer des jeans, des pulls, des chemises et parmi les choses intéressantes les soutiens de ma belle et ses petites culottes.
    
    Bref, c’est pas que je ne pense qu’à ça, mais vu la situation, lorsque je pense, c’est souvent à ça.
    
    Pas de doute, j’étais sur la pente obsessionnelle et me demandais s’il y avait un retour possible, une marche arrière. Pas au point de redevenir un enfant de cœur, mais bon, juste après.
    
    Comment dis-tu ? Ça devient monotone ! Ok message reçu. On y va. Attache ta ceinture, ou plutôt détache-la. On ne sait jamais, des fois que ça te plaise.
    
    Je regardai la garde-robe d’un air dépité. Ranger, ranger. C’est vite dit, ça. Je me mis à la tâche et commençai par le dessus. Dans une vieille boîte à chaussures, je découvre trois cassettes doublement VHS, car en plus de la ...
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