1. Histoire de doutes


    Datte: 23/10/2020, Catégories: hh, fhhh, hplusag, cocus, inconnu, sauna, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, Oral pénétratio, fdanus, Partouze / Groupe yeuxbandés, Humour Auteur: Ari Duparc, Source: Revebebe

    ... tu t’appuies.
    
    Ah oui ! Cela changeait tout. Un morceau d’étoffe en moins et hop ! Les sensations sont décuplées. Je fermais les yeux pour profiter pleinement de cet instant divin.
    
    Christine se raidit et me chuchota à l’oreille :
    
    — On me caresse le pied.
    — Et ça te plaît ?
    — Pas désagréable, mais j’aimerais voir qui le fait.
    — Pas facile.
    
    Je refermai les yeux et m’endormis presque. Presque, car Christine commençait à haleter. Pas uniquement à cause de la chaleur, mais je pense que la tête qui basculait entre ses jambes y était vaguement pour quelque chose.
    
    Elle tremblait, n’osant ouvrir les yeux. Ce qu’elle avait ouvert, c’était ses jambes, dévoilant de la sorte son intimité complètement lisse.
    
    En bon copain, je positionnai mes bras de part et d’autre de son buste. Les mains placées entre ses cuisses, j’ouvrais sa fente en tirant au maximum. La langue pointure pénétrait la vulve comme un petit sexe. Chris déplia ses bras derrière ma tête et se mit à crier son plaisir. Ce qui augmentait la pression sur mon propre membre coincé entre nos peaux mouillées. Sa nudité tendue se relâcha
    
    Dans un ultime soupir. Elle m’embrassa dans le cou en murmurant un merci complice.
    
    La cerise sur le gâteau
    
    Comme à la foire, on voulait tout essayer. Mais la quantité d’attractions ne nous en laisserait pas le temps, voire la condition physique. La douche froide avait réglé le sort de mon érection, mais la pression s’accumulait et il y avait grand à parier que ...
    ... l’éjaculation finale serait volumineuse si toutefois elle se concrétisait.
    
    Christine me tirait toujours par la main, cette fois en direction des chambres à thèmes.
    
    Étrange, cette file d’hommes tout sourires qui s’allongeait devant l’entrée de la consultation gynéco. Ils se tenaient plus ou moins le membre, certains pour maintenir la pression et d’autres pour s’assurer de sa présence. C’était selon.
    
    De nouveaux gémissements modulaient les rumeurs masculines. Les mâles s’encourageaient mutuellement en donnant leur avis sur ce qui se passait derrière cette entrée.
    
    Christine doublait la queue frétillante de spéculateurs. Elle me tirait dans la pièce surpeuplée et c’est là que j’eus mon coup de grâce.
    
    Mon compteur d’adrénaline avait l’aiguille bloquée dans le rouge. J’en tremblais. Je déglutissais avec difficultés tant ma salive m’inondait.
    
    — Viens, asseyons-nous là-bas.
    — …
    
    Elle m’indiquait une estrade en surplomb. De cet endroit, nous avions une vue panoramique de la chambre. Nous étions entourés de toute sorte de gens. Des gros, des vieux, des laids, beaux, jeunes, femmes, hommes (la plupart), tous se touchant différemment en regardant la scène.
    
    Imaginez, mon bien-aimé lecteur, une chaise gynécologique éclairée comme la tour Eiffel au Quatorze Juillet, et entourée de trois hommes qui devaient faire dans le mètre quatre-vingt, jeunes et bronzés. La femme qui était étendue plus qu’assise dans la chaise avait les yeux entravés par un bandeau noir et les pieds à ...
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