"Pharomones" bretonnes ou le miracle de Ste Cécile
Datte: 22/04/2018,
Catégories:
f,
fh,
couple,
vacances,
plage,
hotel,
voyage,
amour,
dispute,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
Oral
pénétratio,
Humour
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... désir, je me sens à sa merci. Je me sens entièrement dépendre d’elle du premier frémissement de ma verge, jusqu’à la longue éjaculation qu’elle pourrait faire jaillir de mon sceptre, dressé en vibrant hommage à sa féminité. Si elle le voulait bien.
Mon esprit est progressivement envahi de pensées contradictoires. Je n’ose encore poser ma main sur elle, mais déjà des réminiscences de phares dressés dans une tempête sensuelle, de minous caressés par des vagues incessantes, de moiteurs bretonnes, mettent mon esprit en ébullition. Le ventre gonflé de l’envie d’avoir à nouveau envie, je m’enhardis à retirer entièrement le drap qui recouvre le corps de mon aimée. Cécile change de position, écarte légèrement les cuisses, comme par inadvertance. Le dessin délicat de son intimité, la fragilité apparente de ses muqueuses, leur attirante couleur rose foncé me cueillent comme un coup de poing au foie. Le sang battant aux tempes, je me prends même à percevoir un début d’entrebâillement entre ses lèvres, comme une invitation à plus d’audace.
Je n’y tiens plus et lance mes mains à l’assaut de ses fesses rondes et musclées, tentant à chaque mouvement de les écarter pour mieux profiter du spectacle. Cécile daigne enfin donner signe de vie. Elle gémit, frotte ses yeux ensommeillés, et finit pas ouvrir un peu plus largement ses cuisses, en murmurant qu’elle me pardonne mon mauvais jeu de mot sur l’Espagnol, mais qu’il faut dormir, à cause de notre programme chargé du lendemain.
— Du ...
... genre ?
— Locronan, puis Douarnenez.
— Marrant les Bretons, Ile de Sein, Noirnéné, ils savent donner corps à leurs fantasmes…
— Calme-toi, et surtout ne retombe pas dans l’ornière, c’est Douarnenez, pas noir néné, marmonne-t-elle sans ouvrir les yeux.
— Là où il y a plein de voiliers une fois par an ? Et à Locronan, quoi de beau ?
— Toi et moi dans une jolie petite ville.
— C’est pas un peu conventionnel et touristique, ça ? Tu veux faire preuve de prévenance en m’accordant une pause érotique ?
— Même simplement main dans la main, je peux ressentir de très troublants frissons avec toi. Tu ne peux pas comprendre ça ? Est-ce si bizarre que ce qui m’excite le plus soit la multiplicité des possibilités de profiter de toi, pas ton imperturbable turgescence ? En plus, puisque tu veux tout savoir, il y a un souffleur de verre à Locronan !
— Dans l’idée que tant qu’à souffler sur ta séduisante pantoufle de vair, autant apprendre d’un professionnel ?
— On peut rêver…
— On peut aussi commencer de suite…
— Ne réveille pas impunément le feu qui couve, dit-elle en s’allongeant sur le dos. Tu n’as rien à prouver, mon homme, rien du tout. Mais ce que l’envie te prend de me faire, je veux pouvoir en profiter sans en perdre une goutte. Et par-dessus tout, je veux que tu regardes ce que tu fais de moi à chaque caresse, je veux que tu me sentes jouir de toi par tous les pores de ma peau, je veux devenir contagieuse de désir, te rendre malade de ce qui me rend si bien entre tes bras, ...