1. "Pharomones" bretonnes ou le miracle de Ste Cécile


    Datte: 22/04/2018, Catégories: f, fh, couple, vacances, plage, hotel, voyage, amour, dispute, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation Oral pénétratio, Humour Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    Ode à ces infimes molécules que les femmes sécrètent pour réveiller le bonobo qui sommeille en leur homme (1).Puisse ce récit apporter une respectueuse contribution à la glorification de la femme dans la quarantaine. Même si, pour être tout à fait honnête, rien n’y est véridique. Pas même mes éjaculations. Surtout pas elles, d’ailleurs. Non par pudeur, mais parce que par définition rien n’est plus débandant qu’une éjaculation. Dès lors, vouloir exciter le péquin par ce biais relève de l’utopie. Ou de la fatuité. Dans les deux cas, un bien trop gros effort au retour de vacances.
    
    Lorsqu’elle m’a proposé la Bretagne, j’ai acquiescé, histoire de ne pas la décevoir, et de pouvoir finir de regarder mon match de foot sans esclandre. De toute façon, dans l’état d’épuisement dans lequel nous étions tous deux après six mois de travail acharné, aller au sud ou à l’ouest ne faisait pas grande différence. Quant à la gastronomie, en dehors des fruits de mer que je n’aime pas et de l’ail qui ne m’aime pas, tous les pays émergents ont quelque chose d’intéressant à offrir.
    
    Or, pour être émergente, elle est très émergente la Bretagne. Surtout au fin fond du Finistère. Je n’aurais d’ailleurs jamais pensé que Cécile ose me faire ce coup-là. Quand elle avait dit « une petite semaine en amoureux en Bretagne », comment imaginer qu’elle me ferait traverser une telle friche touristique.
    
    Après un trajet interminable, nous arrivons dans un coin de pays dont je ne tenterais pas de retranscrire ...
    ... le nom. Même la traduction française ne me semble pas mémorisable. Cécile avait réservé une chambre d’hôte dans un gîte d’étape. Une masure charmante néanmoins, je dois le reconnaître.
    
    Assommés par les heures de route, nous nous effondrons sur le lit, et nous nous endormons tout habillés. Quelques heures plus tard, une agréable sensation me tire de mon sommeil comateux. Cécile est en train de me câliner, s’attardant plus précisément sur les endroits où elle me sait être le plus sensible. Au moment où j’ouvre les yeux, ma sensibilité est déjà bien développée. Suffisamment à son goût pour finir de me déboutonner et arriver à s’emparer de mon membre dressé à mi-mât. Sans me laisser le temps de me réveiller complètement, elle pose ses lèvres sur ma pointe et se met à me lécher, me sucer, mener une danse irrésistible sur ma virilité.
    
    Flottant sur un voluptueux nuage, je m’abandonne à sa virtuosité érotique. En quelques tours de main, elle me fait gicler sur le bord de ses lèvres. Gourmande, elle laisse couler ma semence dans sa bouche, avant de l’avaler avec un soupir de contentement. Puis elle se redresse vivement, dans une forme éblouissante, et me fait part de son envie d’aller manger.
    
    Je m’ébroue, émerge tant bien que mal de mon état de béatitude, et remets de l’ordre dans ma tenue pour ne pas trop dépareiller l’apparence de notre couple. Sans me demander mon avis, elle prend le volant et m’emmène dans un restaurant qu’elle a découvert dans un guide touristique étudié ...
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