Ma femme, mon jouet sexuel. (1)
Datte: 20/10/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... manger la moule, sa tête s’agitant dans tous les sens, ses mains recherchant les nichons pour les malaxer, et le plaisir évident de ma femme qui gémissait tout en me tétant le dard comme une professionnelle telle qu’elle ne me l’avait plus fait depuis longtemps, tout m’émoustillait au plus haut point.
C’était comme du porno dont j’étais partie prenante; du bon boulard, mais avec, en plus, le son, l’image, les sensations, et les odeurs... je voyais et j’y étais.
Le spectacle d’un homme en train de brouter ma femme, la tête rasée court, les épaules musclées de la jeunesse, le petit cul rebondi et les ondulations du corps de la femelle ravagée déjà par le plaisir, c’était fascinant. Je ne pourrai plus jamais m’en passer... je le savais... Mais, ma femme partagerait-elle mon enthousiasme ?
J’eus envie de dire au gars d’enfoncer sa quéquette dans la chatte, mais je me retins en me disant qu’il fallait que je fasse durer les choses, car rien ne me garantissait de pouvoir réitérer, même si je faisais tout pour.
Et puis, il fallait que je le laisse le prendre des initiatives. Ce serait plus excitant d’avoir cet imprévu qu’il me surprenne.
Ma femme gémissait la bouche pleine. Je me promis qu’un des deux finirait par éjaculer dans sa bouche.
Tout à coup, ...
... il se redressa, monta à hauteur de seins en se couchant sur le côté et plongea deux doigts, l’index et le majeur, dans le vagin ; le pouce posé sur le clitoris et les deux autres tendus vers le bas.
Il se mit à les agiter avec frénésie, tout en dévorant le sein droit avec autant de voracité. Il y allait si vite et si fort que Lucille cessa de me sucer pour pousser de petits cris stridents et saccadés et elle se mit à mouiller. Chaque impact des doigts faisait jaillir une giclée de cyprine qui, bientôt, dégoulina sur la main du mec puis sur chaque parcelle de peau à proximité, du bas du pubis jusqu’au haut des cuisses.
C’est bon salope, hein ? T’aimes ça, tu jouis... On va te déboîter tous les deux. Tu vas jouir comme tu n’as jamais joui.
Je n’avais jamais doigté ma femme comme cela. Aussi, quand Loïc en eut assez et qu’il retira sa main, j’y glissai la mienne pour l’imiter alors qu’il embrassait ma femme à bouche que veux-tu, ce qui ne fut qu’un court prélude à une inhumation magistrale. Elle dut ouvrir sa bouche aussi grande qu’elle put pour encaisser les assauts du gros calibre. Vite fatigué par le rythme de ma main sur le sexe et ayant soif de mouille, je me mis à lécher le pubis, la chatte, les cuisses. J’avais maintenant envie de saillir.
A suivre.