1. Ma femme, mon jouet sexuel. (1)


    Datte: 20/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... pour se lever. Cela a été bref quoique d’une lenteur calculée. Elle en a fait exprès. Elle est allée chercher d’autres amuse-gueules.
    
    — C’est... c’est vraiment celle de la photo ?
    
    — Oui.
    
    — Non, ce n’est pas possible... elle lui ressemble... c’est tout.
    
    — Non. Je t’assure... C’est elle.
    
    — Vous causez de quoi les garçons ?
    
    — Boulot.
    
    Je m’amusais. Quand on s’est levés pour passer à table, j’ai vu, sous la toile de son pantalon, que ma femme faisait des dégâts. Une belle bosse et le slip étant sans doute léger, une petite trace d’humidité qui avait traversé... il mouillait du bout, le cochon... Alors l’idée m’est venue.
    
    Inconsciente sans doute de ce qui se passait, ma femme s’est montrée enjouée pendant tout le repas. Lui avait l’air d’un premier communiant, coudes sur la table; coincé sur sa chaise... Elle croyait lui faire de l’effet... et elle lui en faisait plus qu’elle ne croyait. Elle s’en amusait.
    
    J’ai servi du vin. Lui n’a presque pas bu, mais ma femme s’est laissée griser, sans méfiance, absorbée par la séduction qu’elle exerçait sur lui.
    
    Quand elle est partie chercher le café, j’ai dit au jeune coq :
    
    — Alors, tu veux toujours sauter ma femme ?
    
    — Déconne pas... C’est qui ? C’est elle ou pas elle?... Si c’est elle... franchement, j’suis désolé, je savais pas...
    
    — Tu doutes ?
    
    — J’ai pas bien vu la photo. Y a une ressemblance... Mais c’est pas elle, hein ? Tu me fais marcher ? Non, y a pas un mec normal qui montre une photo de sa ...
    ... meuf dans cette position là...
    
    — Elle date d’il y a quinze ans, la photo.
    
    Et je lui ai ressorti mon portable. Il a regardé l’image avec une insistance presque délacée que j’aurais pu interpréter comme un manque de confiance si je n’avais fait la part de l’égarement et du désir du jeune homme, et il s’est tourné vers moi.
    
    — Putain, c’est, c’est incroyable... mi-rigolard, mi-gêné... Je pouvais pas savoir... Personne ne montre une photo de sa femme à poil... comme ça... C’est... Tu aurais dû me dire !
    
    — Tu ne m’as pas cru !
    
    — Qu’est-ce qu’il ne croit pas ? a demandé Lucille en arrivant pile-poil avec le café.
    
    — Que sur "la demande en mariage", c’est toi !
    
    — Quoi ?
    
    — Ta photo de "demande en mariage", il ne croit pas que c’est toi.
    
    — Martial ! T’as pas fait cela ! T’as pas montré la photo ?
    
    — Regarde, ai-je dit en prenant le portable et en le tournant vers elle.
    
    — Mais... mais... qu’est-ce qui te prend ! Ça va pas la tête ! T’es malade ou quoi ? Me montrer comme ça... tu te rends compte de l’humiliation !
    
    — Tu n’as pas à être humiliée. Il te trouve superbe !
    
    Ma femme était défaite, choquée, mais pas en colère... J’avais bien fait de la faire boire un peu. Elle supporte peu l’alcool et a le vin gai... Loïc, quant à lui, était très gêné.
    
    — Je savais pas que c’était vous.
    
    — Toi, tais-toi ! J’ai une explication avec mon mari !
    
    — Il m’a même dit qu’il avait envie de te sauter.
    
    Ils ont répondu en même temps, elle par un "OH !" tonitruant, ...
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