Ma femme, mon jouet sexuel. (1)
Datte: 20/10/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
Nous étions fous amoureux. Nous nous étions rencontrés et trois mois après elle voulait que l’on se marie. Je n’étais pas chaud. Alors elle m’avait envoyé une photo d’elle toute nue, à genoux, jambes écartées, la main sur la vulve, les doigts faisant ressortir le clitoris, ses seins gonflés, ses cheveux blonds sur ses épaules, et l’autre main mimant le geste de la pipe.
— Tu veux vraiment te passer de ça? disait le mot accompagnant l’image.
Non, je ne voulais pas, évidemment ! On passait de longues heures à forniquer. Cette fille c’était le panard, une machine à orgasme, et j’étais bien avec elle... Y a pas que le cul dans la vie... Y a la bite aussi... et tout le reste. J’avais dit oui. Elle était belle, et moi je suis plutôt beau mec, sans me vanter. Depuis, nous appelons cette photo, que j’ai scannée et que je garde sur mon portable, "sa demande en mariage".
Mais quinze ans de mariage ont malgré tout laissé des traces.
La passion violente, la fougue sexuelle des premiers temps, les coups tirés n’importe où, dans la bagnole, le TGV, le jardin public, les dunes... ont laissé la place à une routine, qui reste cependant agréable. On ne fait plus guère l’amour qu’une ou deux fois par semaine au plus et c’est torride à chaque fois, mais le désir s’est émoussé. Envie d’autre chose.
Elle est restée superbe même si elle a un peu plus de rondeur sur sa poitrine et sur ses fesses, mais ce n’est pas plus mal... surtout pour les nichons un peu plus lourds... Moi, je fais ...
... toujours du sport, cela m’empêche de prendre trop de bide à mon goût. Mes traits se sont un peu empâtés et mon crâne se dégarnit. Mais mon gourdin de 19 reste toujours dur pendant l’assaut et super endurant.
Nous continuons à bien nous entendre et à nous aimer sans doute, mais... mais envie d’autres choses.
Si nous avions eu des enfants; peut-être que ce serait différent. Mais, je ne peux pas (j’éjacule comme un taureau, mais mon sperme est infertile) et nos métiers nous ont trop absorbés pour songer à l’adoption. On se parle, on rit, on sort, et de temps en temps je la saute en levrette, je la tourne et la retourne pendant une heure, je lui fais avaler mon sperme et on retourne pour quelques jours à la routine.
Je sais qu’elle a eu des amants. J’en ai eu plusieurs preuves. Cela ne m’a même pas peiné. Nous en avons parlé une fois, dans le calme, quand elle a trouvé une facturette que j’avais, par négligence, oubliée dans la poche arrière d’un pantalon. Elle venait d’un éros-center.
— Tu vas là-dedans quand tu es en Allemagne ?
— Ça m’arrive... tu me manques tellement.
— Tu aurais pu m’en parler. Toi aussi tu me manques.
— Mais toi, tes amants viennent ici.
— Parfois...
Nous nous étions jetés dans les bras l’un de l’autre et avions fait l’amour comme des bêtes. Nous avions même évoqué la possibilité d’aller en boîte échangiste, mais on avait laissé tomber.
Pour l’heure, j’étais en train de repenser à tout cela pendant cet insupportable séminaire, ...