1. Ma femme, mon jouet sexuel. (1)


    Datte: 20/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... assis à côté de mon jeune collègue (avec lequel on déconne bien), que je devais former. Pour tromper le temps, j’ai regardé la photo sur mon portable, la photo de "sa demande en mariage" et j’ai bandé. Si j’avais été seul dans ma chambre d’hôtel, je me serais sûrement branlé, j’aurais peut-être fait fonctionner internet pour trouver une femme libre ou un plan sturb à distance et j’aurais tiré ma crampe, mais là, c’était impossible.
    
    — Putain, elle est canon cette meuf ! Petit cochon, tu caches bien ton jeu.
    
    Je n’avais pas été discret, Loïc, mon jeune collègue, avait tout vu et il venait de me souffler tout bas, d’un air malicieux, cette petite remarque.
    
    — Tu me le passes que je la mate aussi ?
    
    Je lui avais passé.
    
    — Canon ! Ça, c’est de la belle MILF ! Une bouche à faire péter les braguettes. Putain, quelle salope ! Comment elle exhibe sa chatte... bouillante ! Tu me la présentes, je te la saute tout de suite. Je m’y connais en hardeuse, mais celle-là, je la connais pas. Je me la mettrais bien au bout...
    
    — Et elle en dirait quoi ta copine ?
    
    — J’ai plus de copines... pas en en ce moment... j’arrive pas à m’attacher... donc je suis chaud pour la sauter quand tu veux cette meuf... et toi, ta femme, elle sait que tu mates des actrices du X ? Elle en dirait quoi, mon salaud, j’suis sûr qu’elle est pas au courant des petites images cochonnes de son gentil mari.
    
    — C’est ma femme.
    
    Il a fait des efforts énormes pour ne pas éclater de rire, pouffant dans sa ...
    ... main, essuyant les larmes qui lui sont venues aux yeux.
    
    — Putain, t’es vraiment con toi ! Ta femme ! Et moi je suis marié avec Clara Morgane !
    
    J’ai bien vu qu’il ne me croyait pas et j’ai failli insister. Mais j’ai eu une idée vicieuse. L’inviter à dîner et voir sa tronche quand il réaliserait que je ne lui avais pas menti. A ce moment-là, je n’avais pas d’autre idée, je le jure. Juste rire un peu de sa déconvenue.
    
    Il a fallu un peu de temps pour trouver un samedi soir de libre.
    
    Lucille sait que j’apprécie qu’elle plaise aux hommes. Je ne les ai jamais empêchés de lui faire un brin de cour. Ce n’est jamais allé plus loin, enfin que je sache. Peut-être a-t-elle parfois donné suite et compte parmi ses amants d’un soir, ceux que je lui ai présentés.
    
    Elle s’est apprêtée. Chemisier et pas de soutien-gorge en dessous. Il n’est pas transparent, mais on voit bien les tétons tendre l’étoffe légère. La jupe est courte, bien sûr. Si elle s’assoit en face de Loïc sans croiser les jambes, il verra la culotte.
    
    Je n’ai rien raconté de la photo à ma femme. Elle ignore que Loïc l’a vue.
    
    Il est arrivé et je l’ai installé sur le divan.
    
    Quand Lucille est entrée, il a écarquillé les yeux, elle lui a fait la bise et lui a dit quelques mots, mais il n’écoutait pas. Il me regardait, éberlué, rouge de confusion, d’un air de dire : "C’est la même" ? Je souriais.
    
    Elle s’est assise en face. Loïc ne savait plus où il était.
    
    Plus tard, il a bien fallu qu’elle décroise les jambes ...
«1234...»