1. Pas vu, pas pris...


    Datte: 22/04/2018, Catégories: fh, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral policier, sorcelleri, Auteur: Divine, Source: Revebebe

    ... cuisses. Thomas, les prunelles brillantes, à la fois inhibé et fasciné, ne me lâchait pas des yeux. Je dégageai son sexe et commençait à le branler lentement.
    
    — Oh putain ! La vache…
    
    Un sourire carnassier découvrit mes dents. Et encore, il n’avait rien vu !
    
    -- oOo--
    
    La tante de Clotilde n’était pas seule à épier Sophie. Garé un peu plus loin comme pour une opération de surveillance, Fred Nollier observait le chalet de l’enseignante. Il s’étira dans l’inconfort de la Punto, louée la veille à l’aéroport de Perpignan. Ressassant ses souvenirs, il attendait depuis des heures qu’elle sorte pour l’aborder. En parlant à son ex, le policier espérait clarifier ses sentiments. Problème : Sophie n’avait toujours pas pointé le bout de son nez et Fred n’osait pas sonner chez elle. Une rencontre en terrain neutre était préférable, quitte à devoir patienter.
    
    Un flash de lumière balaya soudain la rue, suivi d’une pétarade. Surpris, Fred se rencogna dans l’habitacle, se faisant le plus discret possible. Une petite cylindrée s’arrêta juste devant chez Sophie. Le motard – jeans clairs, blouson de cuir foncé, sac à dos – descendit souplement puis alla toquer chez son ex. Au bout d’un long moment, la porte finit par s’ouvrir.
    
    Là, le choc ! Sophie, plus belle que jamais… Le flic avait sa réponse. À défaut de l’aimer encore, il la désirait toujours autant.
    
    Après un bref échange, le type embrassa Sophie, maladroitement. Fred sentit une pointe de jalousie, dure et vive, le ...
    ... transpercer. Pour tout dire, l’idée ne l’avait même pas effleuré qu’elle soit avec quelqu’un d’autre. Mélancolie acide, sentiment d’impuissance. Il y a un an, c’était lui que l’enseignante accueillait ainsi au pas de sa porte… Un peu tard, pour les regrets.
    
    De là où il se trouvait, Fred ne distinguait pas bien l’homme à la moto. Au moment de franchir le seuil de la maisonnette, son visage apparut enfin en pleine lumière.
    
    — Nom de Dieu… !
    
    Pendant un instant, Fred cru s’être trompé. Mais non ! Tout trahissait une désarmante jeunesse, chez ce rival inattendu : des traits fins, une démarche désinvolte, une posture un rien voûtée. Quel âge avait-il ? Moins de vingt-ans, c’était certain. Un élève préparant le bac, venu prendre des cours de soutien ? Des cours drôlement particuliers, vu sa façon de l’embrasser…
    
    Que foutait Sophie avec ce branleur ?
    
    — Tu vas pas me dire qu’il la baise ! cracha Nollier. Impossible !
    
    Il devait en avoir le cœur net. Une fois la lumière éteinte chez la vieille rombière en face, Fred se glissa hors de la voiture. Silencieux comme un fauve, il fila dans l’obscurité rejoindre le chalet. À l’arrière, un volet entrouvert lui permit de risquer un œil. Un spectacle incroyable l’attendait.
    
    Accroupie aux pieds du mystérieux blouson noir, Sophie exécutait une fellation endiablée. Cramponné au canapé, jeans sur les genoux, visage tendu au plafond, l’autre se tenait arqué pour lui enfoncer sa pine au plus profond de la gorge. Des bruits de succion ...