1. Pas vu, pas pris...


    Datte: 22/04/2018, Catégories: fh, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral policier, sorcelleri, Auteur: Divine, Source: Revebebe

    ... des hanches, je l’aidais à retirer mon jean, quand il s’interrompit net devant la tâche d’humidité poissant ma culotte.
    
    — Non ! Sophie, on ne peut pas… on ne doit pas faire ça !
    — Mais si, d’ailleurs on est en train, fis-je, impatiente, me penchant vers lui pour fouiller dans son pantalon déboutonné.
    
    Au moment où je m’emparai de son membre triomphant, il se dégagea, sans brutalité, insensible aux suppliques de mes mains avides. Je poussais un râle de frustration. Marc me tuait !
    
    — Tu ne vois pas que quelque chose cloche ?
    — Qu’est-ce que tu racontes ? protestai-je mollement.
    — Ça va trop vite, trop fort ! Tu ne t’en rends pas compte ? fit-il, prenant mon visage entre ses paumes.
    — Non… Bon, oui, peut-être… Et alors ? J’ai bien le droit de perdre un peu les pédales, si un mec me fait vraiment de l’effet !
    
    Je le défiais du regard, ne voulant qu’une chose, reprendre là où nous nous en étions arrêté.
    
    — Ouvre les yeux, bon sang ! Ce qui nous pousse l’un vers l’autre n’a rien de normal !
    — Mais qu’est-ce que tu racontes, enfin ! crachai-je. Tu as dans ton lit une pauvre fille qui ne demande que ça, et toi, tu recules avant même de la toucher ! C’est ça, qui n’est pas normal !
    — Si on couche ensemble, tu vas mourir…
    — Pourquoi ? Tu vas devoir me zigouiller après ?
    — Je ne suis pas seul en cause, Sophie ! Là, dehors, une espèce d’atrocité nous veut du mal. Si on fait l’amour, ça la renforcera. Ensuite, elle… et bien, elle cherchera à te tuer !
    — Charmant ! ...
    ... C’est qui, celle-là ? Une de tes ex méchamment barrée, qui s’est juré de décimer toutes tes futures conquêtes ?
    — Deux filles extraordinaire sont mortes à cause d’elle, simplement parce que j’en étais amoureux. Je ne veux pas que la même chose t’arrive ! fit-il, me regardant avec une intensité qui me fit tressaillir.
    
    J’étais partagée entre la crainte et la joie. Marc venait d’avouer ses sentiments, mais, dans le même temps, il évoquait une menace aussi effrayante qu’incompréhensible. Avant que je ne puisse protester, il enfonça le clou.
    
    — Je regrette Sophie… Il vaudrait mieux que tu partes.
    
    Se relevant, il commença à se réajuster en évitant mon regard. À moitié nue face à cet homme qui me rejetait, je me sentis soudain très mal à l’aise. Je n’arrivais pas à saisir les raisons qui le poussaient à faire ça, mais une chose au moins était claire, il ne voulait pas de moi ! Une sourde colère m’envahit. Marc ne s’était pas expliqué, il ne me faisait pas assez confiance pour ça. Quel que soit son rôle dans la mort de ces deux filles, j’aurais pu essayer de le comprendre, de l’aider. Mais là, en refusant de communiquer, il fermait la porte à tout !
    
    Je me redressai à mon tour, me rhabillant rapidement. Blême de frustration, je me dirigeai vers la porte du studio. Marc ne dit pas un mot, ne fit rien pour me retenir. J’attendis d’avoir quitté son appartement pour laisser échapper mes larmes. Repoussée par celui à qui je m’étais offerte, je me sentais honteuse, salie.
    
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