1. Des achats qui changent tout


    Datte: 19/10/2020, Catégories: ffh, fagée, jeunes, Collègues / Travail magasin, essayage, caférestau, amour, BDSM / Fétichisme nopéné, Auteur: P-hpassage, Source: Revebebe

    ... Eléanore, imaginant la jeune femme le collant et la culotte descendus aux genoux, courbée sur les cuisses du boss, recevant la fessée, et peut-être… plus encore…
    
    Le boss, il la regarde à peine. Est-ce parce qu’elle est trop vieille, parce qu’elle n’est pas sexy ?
    
    Elle se rappelle les mots employés par la jeune stagiaire… Les photos sur le PC, des femmes en bas et porte-jarretelles, des femmes… mûres. Le boss n’est pas une gravure de mode ; pourtant elle le trouve beau. Il a de l’allure, du charisme. Il la respecte, avec parfois un peu trop de condescendance. Pourquoi ne la regarde-t-il pas avec les yeux d’un homme désirant une femme ? Eléanore lui a dit qu’il possède une belle… un beau sexe ; mais bien qu’elle s’en défende, le mot "bite" s’impose à elle. Et les couilles, des couilles bien pleines, prêtes à cracher leur jus…
    
    Se replongeant dans son dossier, elle tente d’oublier toute cette lubricité qui l’obsède. Impossible : elle ne pense qu’à des choses sales, des hommes se masturbant devant des femmes exhibant leurs cuisses, leur cul. Et cette culotte trempée qui lui colle à la peau… Posant une main sur l’entrejambe de son pantalon, elle réalise que le tissu est encore trempé ; une auréole foncée est bien visible sur le devant du vêtement.« Mon Dieu… Le boss l’a-t-il vue ? »
    
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    Le vendredi suivant, à la sortie du bureau, les voilà toutes deux parties pour une séance de shopping. Eléanore entraîne Nicole dans le grand magasin. La bonne humeur de la ...
    ... jeune femme amuse Nicole. Elle appréhendait cette sortie, mais parcourir les rayons avec celle qui pourrait être sa fille est finalement un vrai régal.
    
    Eléanore essaie deux jupes, puis trois, puis cinq, toutes plus courtes les unes que les autres, en tournoyant, un grand sourire aux lèvres qui amuse beaucoup sa supérieure. L’une des jupes est plissée, courte, lui donnant une allure d’écolière. Ayant fait son choix, elle dit :
    
    — Nicole, vous devriez en choisir une, vous aussi.
    
    L’enthousiasme de la stagiaire entraîne Nicole dans un tourbillon ; elle aussi se met à rire. Alors elle choisit une jupe droite, noire, l’essaie, la trouve un peu serrée aux fesses, mais finit par demander l’avis d’Eléanore.
    
    — Elle vous va bien ; un peu longue : il faudrait la raccourcir.
    — Oui, mais elle me serre vraiment trop.
    — Non, non, au contraire : elle moule parfaitement vos hanches.
    
    À force de persuasion, Nicole finit par en choisir deux ; des jupes droites, dont l’une se fermant sur le devant par des pressions du haut en bas.
    
    — Il ne faudrait pas que les pressions lâchent quand vous vous asseyez… commente perfidement la jeune femme.
    
    Nicole rit, se demandant intérieurement si elle osera vraiment porter un jour cette jupe. Eléanore a raison : si elle s’ouvrait lorsqu’elle s’assoit dans le bureau du boss… Quelle honte ! Depuis combien de temps n’a-t-elle plus mis de jupe ? Trois mois ? Six mois ? Deux ans peut-être ; deux ou trois fois en été. Elle s’examine dans le miroir ...
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