1. Des achats qui changent tout


    Datte: 19/10/2020, Catégories: ffh, fagée, jeunes, Collègues / Travail magasin, essayage, caférestau, amour, BDSM / Fétichisme nopéné, Auteur: P-hpassage, Source: Revebebe

    ... ligne. Un bel homme, aux tempes grisonnantes. Il la salue courtoisement.
    
    Prévenant, son boss lui offre le café et lui tend le gobelet.
    
    — J’aime beaucoup ces petits plis au niveau de votre cheville, c’est exquisément sexy. Vous avez très bien choisi vos bas, chère Nicole…
    
    Baissant la tête, Nicole rougit une fois de plus – la deuxième fois de la journée – à peine arrivée au travail.« Mais comment diable sait-il que je porte des bas ? Des petits plis… Zut, j’ai dû mal les tendre, à cause de ces jarretelles dont je n’ai pas l’habitude… Il a dit "sexy"… Il me trouve sexy ! Il me trouve séduisante ; il veut peut-être me… me coucher sur son bureau, me baiser ! Non, pas lui, impossible, il est trop bien élevé. Il n’oserait jamais faire une chose pareille. Et puis ce serait sale, faire ça dans un bureau, sur une table… Non, l’acte sexuel ne doit se faire que dans l’intimité d’une chambre, dans un lit. »
    
    Le café avalé, ils retournent au bureau du boss. S’asseyant dans son confortable fauteuil, il demande :
    
    — Nicole, ...
    ... venez voir ce dossier ; j’aimerais avoir votre avis sur un point qui m’intéresse.
    
    Elle approche, contourne le plateau de verre, et positionnée contre le fauteuil elle se penche sur le dossier. Tout à coup elle se raidit… La main du boss vient de se poser dans le creux de son genou, puis remonte lentement, très lentement, dans une légère caresse, le long de la cuisse, faisant crisser les mailles du bas. Nicole proteste dans un souffle mais ne peut bouger, tétanisée par la sensation de cette main qui caresse avec légèreté l’arrière de sa cuisse. La tension est extrême ; ils sont tous les deux silencieux. Il n’y a que cette main qui monte, descend, remonte – jamais trop haut – effleurant la boucle de métal qui attache la jarretelle au bas, ne touchant jamais la peau nue.« Il a osé… Il… il me touche. Mon Dieu, c’est… c’est vicieux ! »
    
    Puis elle se met à trembler légèrement. Pour garder l’équilibre, elle écarte un peu les pieds. Elle se sent terriblement vulnérable.
    
    — Qu’y a-t-il, Nicole ? Vous frissonnez ; auriez-vous froid ? 
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