Estelle - Histoires de Sexe

Estelle

... plaquant mes mains sur ses hanches, je la défonçai à toute allure ; de rapides et violents coups de bassin qui enfonçaient mon gland au plus profond de son vagin puis le ramenaient jusqu’à ses petites lèvres, le tout à une cadence infernale. De son côté, elle se mit à se caresser le clitoris, également à toute vitesse. Et elle gueulait, toujours plus fort.

À tel point qu’au bout d’une ou deux minutes de ce traitement, j’aperçus le barman se pointer juste derrière moi. Il venait certainement nous engueuler. Mais je m’en foutais, j’étais plus à ça près. D’ailleurs, je commençais même à être sérieusement excité par le pied que semblait prendre ma partenaire.

— Oh, Estelle ! cria-t-il pour couvrir les cris de la demoiselle. Arrête, tu fais vraiment trop de boucan, là !

Et puis il resta à nous fixer d’un œil sombre. Ça eut l’effet parfaitement inverse : les hurlements de la jeune femme furent plus intenses et plus rapides, plus saccadés, et son majeur tournoya de plus en plus vite sur son clitoris. Elle nous regardait alternativement, le barman et moi. J’accélérai encore un peu ma cadence, moi aussi toujours plus excité, et elle explosa soudain en poussant une longue plainte saccadée et en se crispant par à-coups. Et son orgasme déclencha le mien ; je balançai encore deux ou trois grands coups de bassin, puis, en grognant, je me déchargeai de quelques gouttes maigrelettes au fond du réservoir de la capote.

On redescendit sur terre à peu près en même temps, Estelle et ...

... moi. Je me laissai tomber à côté d’elle sur la banquette.

— Ouaouh ! fit la jeune femme.
— Estelle, beugla le barman, je te préviens, c’est la dernière fois que tu fais ça ici !

Voilà, j’en étais sûr, cette salope faisait ça tout le temps avec n’importe qui !

— Oh, Fred, fais pas chier ! lui répondit-elle. T’es bien content d’en profiter, des fois…

Je le regardai sans doute bizarrement.

— Mais t’es complètement folle de gueuler comme ça ! continua-t-il.
— C’est pas de ma faute, répondit-elle en me souriant, personne ne m’avait jamais fait jouir comme ça…

Le dénommé Fred me lança une tronche de premier de la classe qui découvre qu’un cancre a eu une meilleure note que lui.

— Tu refais ça encore une fois et je te dénonce au patron ! C’est clair ? finit-il par dire, sans doute à court d’arguments, avant de s’éloigner.
— Pffff, lui rétorqua-t-elle, le patron il me baise comme les autres, qu’est-ce tu crois !

Mais le barman leva puis baissa les mains à toute allure, voulant sans doute nous signifier que le débat était clos, puis retourna se faire chier derrière son bar. Je regardai vers la jeune femme ; j’étais vraiment tombée sur la salope absolue, qui se tapait tout ce qui avait deux pattes et une bite. Pourtant elle avait pas l’air, comme ça en la regardant, elle avait plutôt une tête de gentille mignonne timide…

— Merci ! me fit-elle en reprenant son verre. Tu sais, j’étais sérieuse, jamais un mec seul ne m’a fait jouir comme ça…

Ah ouais ! En ...