1. Sur le balcon


    Datte: 17/10/2020, Catégories: fh, couple, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, jeu, lieuxpubl, Auteur: Mintee, Source: Revebebe

    ... la porte du balcon, tout en palpant son corps sulfureux. Mes mains pétrirent ses hanches, son ventre et son dos à loisir. Je sentis sur mon torse ses seins voluptueux, dont les pointes semblaient agacées par mes poils.
    
    Je jetai un coup d’œil. La porte se rapprochait et sa nervosité augmentait alors que ses mains fébriles me serraient et me pinçaient presque violemment. Je souris sous nos baisers. À distance de main, la poignée.
    
    Son corps se serrait contre moi et sa langue se fit envahissante. Sa respiration poussait ses seins contre moi presque frénétiquement et tout cela m’enivrait énormément, me donnant une trique du tonnerre et me galvanisant de confiance. Force était de constater que moi aussi j’avais la trouille.
    
    Je tendis la main et d’un seul coup ouvris la porte. La chaleur de l’été s’engouffra d’un coup et délassa nos corps, la première barrière passée, je m’écartai d’elle et la regardai dans les yeux.
    
    — Mon jouet d’abord. Tu vas aller t’asseoir sur le transat et ouvrir tes cuisses.
    
    Son corps se couvrit de chair de poule. J’imaginais son estomac se crisper d’un coup. Tout de même, elle sortit le bout du pied et me tourna le dos. Je posai la main sur ses reins pour la rassurer et lui murmurai que j’étais derrière elle à chaque pas. Fière et splendide, la voilà qui traversait d’un pas chaloupé le balcon, déployant ses cuisses magnifiques sous la lumière de la nuit et marquant le pas d’un élégant claquement de talon.
    
    J’entendais sa respiration calme et ...
    ... sereine, je voyais son corps plein et confiant. Elle me devançait, pivota sur elle-même et s’assit lentement en ouvrant les cuisses, sur le rebord du transat. Son corps somptueux teinté d’obscurité était merveilleux et une offrande à laquelle je ne pouvais résister. Elle étendit derrière elle ses bras pour poser ses mains sur le bois de la chaise, humide de la pluie du midi. Cette confiance m’ébranla et me ravit. Le mouvement était presque théâtral, alors qu’elle rejeta la tête en arrière.
    
    Je m’approchai, me plaçai entre ses cuisses et plongeai mes doigts dans sa chevelure qui tombait dans son dos. L’attrait de ce cou fragile et pâle m’était trop fort et mes lèvres s’y posèrent pour le couvrir de baisers. Mon autre main atteignit sa hanche où je m’accrochai tel un vampire pour mieux me tenir contre elle. Mon sang battait dans mon sexe, qui lui-même battait contre sa poitrine, et elle ne s’empêchait même pas d’onduler délicieusement pour se frotter à ma hampe, la passant entre les globes pour me faire sentir leur chaleur ou alors carrément y gratter un mamelon érigé.
    
    Sa gorge laissait aller des soupirs remplis d’envie et de volupté et je regardai ses lèvres qu’elle mordillait et humectait. Je l’embrassai encore et encore, me repaissant du goût doux et onctueux de sa bouche et de sa salive. Je glissai lentement vers son oreille où je déposai un nouveau baiser et je lui soufflai au bout du désir :
    
    — J’ai très envie que tu me suces. Là, maintenant, tout de suite !
    
    Je ...
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