1. La tempête de neige


    Datte: 16/10/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, train, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation Oral Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... avec ta bite pour qu’elle soit dure comme du bois. Oh ! Que j’en ai envie depuis si longtemps…
    — Tant que ça ?
    — Oui, cela fait bien six mois.
    — Et entre-temps ?
    — Eh bien, je fais comme toi, sans doute, quand tu es seul et en manque. Je me branle la motte avec un gode. Tu veux voir ?
    — Bonne idée. C’est la première fois que je verrai une femme se faire jouir toute seule.
    — Vrai ? Je suis la première ?
    — Oui. Tu peux me croire. Va chercher ta biroute à moteur.
    — Ce n’est pas très joli ; je préfère parler de la queue inerte.
    — Je crois que le souper refroidit.
    — Ce n’est rien ; moi, je suis chaude et tu vas me déguster. Mais dis-moi, comment fais-tu quand tu es seul ? Je serais curieuse de voir un homme se caresser la pine jusqu’à la faire juter. Montre-moi.
    — Ne serais-tu pas un peu vicieuse ?
    — Oui : vicieuse et voyeuse. Allez, montre !
    — Et toi ? Ça t’arrive de te caresser quand tu es seule ? Je voudrais bien voir comment tu fais.
    — Je viens de te le dire.
    — Oui, avec un gode. Mais avec tes doigts ?
    — Ça m’arrive aussi. Faisons-le ensemble. Mais toi, ne te fais pas jouir sinon je n’aurai pas droit à ton jus dans ma chatte qui en a si envie.
    — Auparavant, as-tu le téléphone ?
    — Oui. Pourquoi ?
    — Je voudrais avertir mes parents que je ne rentrerai pas ce soir. Je ne veux pas qu’ils s’inquiètent.
    — Tu as raison. Viens, je te montre.
    
    Pendant que je téléphonais au voisin des parents pour les avertir, Marie-Anne, nue s’était collée contre mon dos. D’une ...
    ... main, elle caressait ma bite qu’elle fit bander rapidement ; de l’autre, je sentais qu’elle s’asticotait la moule. Je raccrochai et tendis mes mains vers son corps. Elle ne lâcha pas ma queue pendant que j’essayais de l’aider à se branler la chatte.
    
    — Non. Laisse-moi me faire jouir toute seule. J’en ai l’habitude. Contente-toi de me sucer les seins et caresse-toi, que je voie comment tu te branles la bite.
    
    Je me tournai vers elle, me penchai pour happer un mamelon déjà durci par l’envie qu’elle avait de se faire jouir. Sa main avait écarté les lèvres de sa chatte, et l’autre main titillait le clito, puis se plaqua sur toute la fente pour la masser de plus en plus vite. Je suçais le bout des seins, ce qui la fit trembler. Ce qui ne m’empêcha pas de tirer sur ma bite que j’astiquais de plus en plus. Je sentais d’ailleurs que si je continuais, elle n’aurait qu’une demi-dose de foutre quand j’enfilerais sa moule pour y fourrer ma pine bien dure.
    
    — Regarde comme je me branle bien.
    
    J’avais passé mon bras libre sur ses hanches et, lentement, je l’entraînai vers le divan où je l’étendis. Je restai debout devant elle. Ses cuisses formaient un angle très large et je vis son clito sorti de sa gaine. Elle le frotta du bout de son ongle, s’introduisit trois doigts de l’autre main dans la chatte et s’astiqua au mieux. Elle gémit, me regarda d’un œil chaviré. Elle souleva son buste, devint rouge, et soudain retomba d’un coup sur le divan.
    
    — Chéri, ça y est. Je vais jouir. ...
«12...567...15»