1. La tempête de neige


    Datte: 16/10/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, train, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation Oral Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... jeune femme m’émoustillait et, en l’aidant à descendre du train, je la tins par la taille. Elle se laissa conduire. Nous arrivâmes chez elle. En montant dans l’ascenseur qui conduisait au premier étage, je ne pus empêcher ma main de monter le long de l’intérieur de sa jambe. Je m’arrêtai en arrivant sur le palier, mais j’eus le temps de sentir au bout de mes doigts la douceur d’une toison fine et délicate. Je constatai que l’immeuble était cossu. Nous entrâmes. L’appartement était coquettement aménagé.
    
    — Installe-toi, le temps que je prépare un petit souper. Veux-tu prendre une douche ?
    — Pourquoi pas ?
    
    La salle de bain était spacieuse et, chose rare pour l’époque, je me retrouvai devant une baignoire ronde. Je lui en fis la remarque. Elle sourit.
    
    — On a plus d’espace pour se câliner. Les baignoires rectangulaires sont trop étroites. On se cogne sur les bords et on se fait des bleus.
    
    Elle s’éclipsa et je me douchai rapidement. En catimini, je sortais tout nu de la salle de bain pour aller prendre mes vêtements dans ma valise au moment où elle sortait de la cuisine. Elle déposa sur la table un plat fumant.
    
    — Oh, là là ! Tu es déjà prêt… Tu viens manger comme ça ?
    — Non, je vais passer un vêtement.
    — Pourquoi ? Il fait bon ici. Et puis, c’est original de souper tout nus. Je vais en faire autant. Ce sera vite fait : je n’ai pas de culotte. Viens me déshabiller ; ce sera amusant et tu pourras ainsi me caresser et m’exciter. Nous avons été malencontreusement ...
    ... interrompus dans le train.
    — Nous allons nous rattraper.
    
    Je la pris dans mes bras et nous nous embrassâmes. Notre baiser fut long et chaud, nos langues se mêlaient. Je la sentis frissonner. Un long soupir s’échappa de ses lèvres.
    
    — Oh ! Que j’aime ça, dit-elle en se dégageant un peu. Laisse-moi reprendre mon souffle. Tu m’excites ; je sens que ma chatte ne va pas tarder à s’émouvoir. Je mouille déjà.
    — Moi aussi, je sens ma bite qui s’énerve un peu.
    — Rien qu’un peu ? Moi, je coule. Vite, ôte-moi ma jupe que je sente ta bite contre mon ventre.
    
    En un clin d’œil, j’ai dégrafé la jupe qui tomba. Je la serrai contre moi. Effectivement, ma bite s’était éveillée et s’était mise à enfler. Je la calai contre le ventre de la jolie demoiselle qui, lentement, descendit sa main et, la glissant entre nos corps, se mit à me caresser doucement le gland déjà tuméfié.
    
    — Oh ! Comme tu bandes déjà bien… et je ne t’ai encore rien fait ! C’est comme moi : ma chatte est toute humide de mon jus. Pourtant, tu n’as fait que m’embrasser.
    
    Elle s’interrompit un instant, s’écarta légèrement et me regarda dans les yeux, comme si elle voulait me scruter.
    
    — Suis-je sotte ! Voilà près de deux heures que nous sommes ensemble ; nous allons faire l’amour et je ne me suis pas présentée. Je m’appelle Marie-Anne.
    — Moi, c’est Jean-Henri.
    — Alors, baise-moi : je suis folle d’envie de sentir ta pine en moi. Mais avant, tu vas me préparer en suçant bien fort mon minou pendant que je ferai de même ...
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