La tempête de neige
Datte: 16/10/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
train,
Voyeur / Exhib / Nudisme
ffontaine,
Masturbation
Oral
Auteur: Naipas, Source: Revebebe
... Regarde-moi quand je pars. Ah ! Que c’est bon ! Ouiiii ! Regarde… moi ! Ouiii ! Ça y est, je vais jouiiiir ! Ouiiiii ! Je jouiiiiis ! Aaaaaaah !
Ce que je vis dépassait ce que j’avais déjà vu. Elle s’arc-bouta ; son ventre se souleva violemment lorsqu’elle cria. Ses yeux se révulsèrent, et de sa chatte s’écoula un long filet de cyprine qui se répandit sur le cuir du divan. Je me penchai sur elle et l’embrassai. Elle répondit à mon baiser par un baiser presque inconscient, doux et humide. Elle revint lentement sur terre, ouvrit les yeux, fixa son regard sur ma queue raide. Je n’avais pas joui car j’avais arrêté de me branler pour admirer le spectacle du plaisir que se donnait mon hôtesse.
— Alors ? Qu’en dis-tu ?
— C’était sublime. Je n’ai jamais rien vu d’aussi beau. C’est merveilleux, une femme qui jouit. Il n’y a rien de mieux au monde. Je ferai attention à l’avenir. Tu m’as appris aujourd’hui quelque chose que j’ignorais. Merci. J’étais loin de m’imaginer que j’aurais aimé cela, et surtout que cela m’eût autant impressionné. C’était réellement sublime. Je t’ai vue trembler ; j’ai vu tes yeux bleus virer au vert foncé et se révulser au moment de ton plaisir. J’ai vu ta bouche s’ouvrir et se fermer, ta respiration haleter, ta peau se couvrir de petites plaques roses et tes bouts de seins durcir comme des cailloux.
— Je suis heureuse aussi que tu aies pu apprécier le plaisir que je ressentais. Je suis rassurée parce que je me demandais si j’étais encore capable de ...
... faire bander un homme rien qu’en me secouant la chatte. Mais toi ? Mon pauvre chéri, tu n’as rien eu. Viens que je te fasse du bien et que je prépare ta belle bite à son voyage au pays de mon corps.
— Comme tu veux, je suis prêt.
— Tu me la mettras, dis, ta pine dans ma moule ? Dis que tu me la mettras bien loin et bien fort. Oh ! Chéri ! J’ai envie de ta bite ! Donne-moi ta bite ! Ouiii ! Donne-moi ta belle bite pleine de foutre. Oh ouiiii ! Donne-la-moi viiite. J’en ai envie. Tu m’as rendue folle de désir. Oooh ! Je mouille comme une fontaine. Viens dans ma chambre, nous serons mieux.
Elle me prit par le bras et m’entraîna vers sa chambre. Elle se colla à moi, me bécota le cou, joua avec ma bite toujours bandée. Jamais en montant dans le train je n’aurais imaginé que ma soirée devînt une des meilleures que j’aie eues depuis longtemps. Soudain, je repensai à Josée, à Carole, à Sophie, ma cousine, à Brigitte, la prof de math. Je les revoyais ouvertes, la chatte mouillée, les yeux brillants de plaisir et je me dis que Marie-Anne valait chacune d’elles. Avec quelque chose en plus d’indéfinissable, une sorte d’expérience que même Josée n’avait pas, bien que mariée.
Nous arrivâmes dans sa chambre aux murs tout décorés de petites esquisses érotiques représentant des scènes champêtres où de jolies jeunes femmes se faisaient assaillir par des faunes et des satires tous mieux membrés les uns que les autres. Les queues démesurées des uns entraient profondément dans les chattes ...