1. La tempête de neige


    Datte: 16/10/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, train, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation Oral Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... laissa embrasser sans résistance, ce qui m’étonna. Mieux, elle répondit à mon baiser, sa langue pointue fouillant doucement ma bouche. Presque à bout de souffle, elle se dégagea et me regarda, l’œil brillant.
    
    — Tu embrasses bien, j’en suis toute chaude.
    — Pourquoi te laisses-tu embrasser comme ça ? Il n’y a qu’un peu plus d’une heure que nous sommes ensemble dans ce compartiment.
    — Tu me plais beaucoup, et puis j’aime faire l’amour. J’en suis privée depuis un bon moment. J’ai toujours refusé l’aventure parce que je pensais que cela ne m’apporterait rien que de la peine.
    — Toi aussi, tu me plais. Tu es belle, tu as beaucoup d’élégance et surtout beaucoup d’esprit et de la conversation. Tu n’es pas comme certaines de mes copines qui se contentent d’être jolies mais n’ont rien dans le crâne.
    — Pourtant, elles doivent bien avoir une chatte ; je présume et que tu y es allé fourrer tes doigts et ta langue. En attendant, merci pour le compliment ; tu es gentil et tu ne dragues pas comme le sot qui veut se mettre la fille dans son lit. C’est pour cela que tu me plais. Attends un instant.
    
    Elle se leva et sortit du compartiment. Je me mis à penser à cette heure passée en compagnie d’une femme qui, pour des raisons que j’ignore, s’est mise à se confier et était prête à faire l’amour avec moi, dans ce train, si elle en avait envie. Nous roulions de plus en plus lentement, comme si le machiniste devait chercher son chemin. Je regardai ma montre : il était déjà six heures. Si ...
    ... cela devait continuer, j’allais rater la correspondance à Dinant. Je ne m’inquiétais pas. À ce moment, la jeune femme revint, l’œil brillant, le sourire aguichant, les seins cambrés. Elle s’assit, écarta d’un geste les pans de sa jupe, entrouvrit les cuisses. Avant que j’aie eu le temps de réagir, elle tira de son sac sa petite culotte rose et me la fourra sous le nez. Comme elle sentait bon la cyprine !
    
    — Tu sens l’odeur de ma chatte ? Sens mon foutre. Je mouille déjà !
    
    Le sang me battait dans les veines. Je n’eus pas le temps de répondre qu’elle se planta devant moi, les jambes légèrement entrouvertes.
    
    À ce moment, la voix du chef de train résonna dans le couloir de la voiture.
    
    — Nous sommes arrêtés à Dinant. Les voyageurs sont invités à descendre. Le train ne va pas plus loin. La voie est obstruée. Elle ne sera pas libre avant au moins deux heures. La buvette de la gare est ouverte.
    — Qu’est-ce qu’on fait ? On reste, ou on s’en va ?
    — Pourquoi, « on s’en va » ?
    — J’habite ici.
    — Ah !
    — Tu peux venir avec moi.
    — De toute façon, j’ai raté la correspondance.
    — Tu viens ? J’ai envie de toi.
    — Allons-y.
    
    Nous nous préparions à descendre. Je l’aidai à enfiler sa fourrure et je descendis sa valise.
    
    — Tiens. Tu ne remets pas ta culotte ?
    — Non, ce n’est pas la peine. J’habite à cent mètres de la gare. Ce sera vite fait et je n’aurai pas la peine de la retirer. Tu pourras même me caresser la chatte dans l’ascenseur.
    
    La perspective d’une soirée avec la ...
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