1. La tempête de neige


    Datte: 16/10/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, train, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation Oral Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... plus. Tu m’as tué. Je passe la plus belle nuit de ma vie. Jamais je n’oublierai ce que je suis en train de vivre. Qu’est-ce que tu m’as fait ?
    — Et toi ? C’est aussi la plus belle nuit depuis longtemps. Viens près de moi ; je veux dormir dans tes bras. Embrasse-moi.
    
    Je lui pris les lèvres mais elle ne réagissait presque plus. Et le sommeil nous prit soudain.
    
    Il faisait grand jour quand je me réveillai. Était-ce la lumière ou l’odeur du café ? Les deux, sans doute. J’étais un peu honteux d’être encore au lit alors qu’elle travaillait déjà. Elle arriva avec un plateau chargé du petit déjeuner, croissants et confiture. Elle ne portait qu’une nuisette transparente qui ne cachait rien des trésors que j’avais tant embrassés cette nuit.
    
    — Tu es déjà sortie ?
    — Bien sûr. La pâtisserie est à côté ; je n’avais qu’à passer mon pull et mon manteau.
    — Et tu n’avais rien d’autre ?
    — Non, pourquoi ? C’est interdit ?
    — Pas du tout ; mais tu aurais pu attraper la crève.
    — Tu es là pour me réchauffer, n’est-ce pas ?
    
    Je ne répondis pas et me contentai de la regarder en me disant que j’avais eu une chance de pendu avec cette tempête de neige qui m’avait fait connaître Marie-Anne dans des conditions extraordinaires. Je la regardais, je fixais ses seins gonflés aux pointes grosses comme des noisettes. Elle n’avait pas remis son slip sous sa nuisette. Et dire qu’elle est sortie comme ça…
    
    — Tu n’avais pas de culotte à la pâtisserie ?
    — Non. Cela t’ennuie ?
    — Ce n’est pas ...
    ... ça. Tu aurais pu avoir un accident ; et alors ?
    — Je ne pense pas à tout ça. Je n’en ai pas mis pour aller plus vite. Je crois que si tu restais avec moi, je prendrais goût à sortir avec toi, toute nue sous ma robe. Et pourquoi pas sous mon manteau de fourrure ? Ça doit être excitant de me dire que je pourrais être surprise comme ça. Tu te rends compte de ce que je suis en train de dire ? Cela ne m’est jamais arrivé. Tu m’as rendue folle de plaisir. Alors, mon chéri, qu’en dis-tu ? Cela te plairait ?
    — Bien sûr, mais ce n’est pas le cas. Nous ne vivons pas ensemble, et je le regrette.
    — Bah ! Tu reviendras.
    — Certainement. Si tu acceptes, je passerai le prochain week-end avec toi.
    — Tu ferais ça ? Tu es merveilleux. Vivement samedi !
    — Je te le promets. D’ailleurs, je ne rentre chez moi qu’une fois sur deux. Je n’ai pas trop de billets de train.
    — Je peux aller te chercher à la gare de Namur ? Nous referons le voyage ensemble. Je veux revivre notre rencontre.
    — Pourquoi pas ? Et si tu es toujours d’accord, je viendrai chaque mois ou chaque quinzaine.
    — Tes études sont encore longues ?
    — Si je réussis chaque année, il me reste un an et demi. Sinon, un peu plus longtemps.
    — Je ne peux pas te demander d’échouer pour avoir le plaisir de t’avoir à moi plus longtemps.
    — On ne sait jamais ; un gros ennui est vite arrivé.
    — Je ne te le souhaite pas.
    
    Nous avons encore fait une fois l’amour avant mon départ. Ce fut aussi brillant que la veille car elle fut encore plus ...