1. La tempête de neige


    Datte: 16/10/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, train, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation Oral Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... d’être avec toi. Si on m’avait dit que je te rencontrerais dans le train et que nous ferions l’amour, je ne l’aurais jamais cru.
    — Moi non plus. C’est la neige. Bienheureux hiver qui m’a fait te rencontrer. Je dois t’avouer une chose : j’ai failli ne pas rentrer chez moi aujourd’hui parce qu’il y avait une fête à la fac. J’aurais raté quelque chose si j’y étais resté ! Tu es merveilleuse de gentillesse et tu es une femme amoureuse de l’amour. Je me trompe ?
    — Non, j’aime faire l’amour. Du moins, j’aimais le faire du temps de mon mari. Mais, comme je te l’ai dit dans le train, j’en avais un peu perdu l’habitude et c’est plus par nécessité physique que je le faisais de temps en temps. Je ne m’imaginais pas qu’avec toi c’était autre chose.
    — Toi, tu m’as appris beaucoup ce soir. Cela ne s’oublie jamais. Vive la neige !
    
    Je la repris dans mes bras et l’embrassai passionnément. Elle se dégagea.
    
    — Tu n’as pas soif ?
    — Si.
    — Que veux-tu ?
    — Le jus salé qui coule de ta chatte.
    — Allons, sois sérieux !
    — Je suis sérieux, j’ai encore envie de goûter à ta cyprine.
    — Après, si tu veux. Regarde : les lèvres de ma chatte sont toutes gonflées tant tu les as sucées. Je vais me rafraîchir un peu et je t’apporte un jus d’orange.
    
    Je voulus la saisir pour l’attirer sur le lit mais elle se déroba et se sauva à la cuisine. J’attendis patiemment deux ou trois minutes. Ne la voyant pas revenir, je me glissai hors du lit et me dirigeai vers la cuisine. Marie-Anne était en train de ...
    ... se contempler dans le grand miroir. Elle avait saisi ses mamelons et les tripotait entre le pouce et l’index. Je regardais, et soudain, je vis ses yeux se mouiller. Une de ses mains glissa sur son ventre, s’insinua entre ses cuisses et, lentement, caressa sa moule ouverte. Je ne dis rien ; je m’avançai vers elle et, sans la brusquer, je lui retirai sa main pour placer la mienne.
    
    — Ah ! Tu triches, dis-je en souriant.
    
    Pour toute réponse, elle prit ma pine dans sa main libre et recommença à la masser jusqu’à ce qu’elle redevienne dure.
    
    — Toi aussi, répond-elle. Je veux recommencer. Tu m’as réellement fait jouir comme jamais. Tu peux me croire. Je sais ce que je dis. De toute ma vie, même avec mon mari, je n’ai joui autant et aussi fort que ce soir avec toi. Tu es un amant merveilleux et je ne souviendrai de toi toute ma vie.
    
    Je m’écartai d’elle pour la laisser remplir les verres. Nous buvions lentement ce jus de fruits parfumé de rhum. Je la dévisageai : les petites taches roses qui parsemaient son corps après l’amour n’avaient pas disparu, preuve de la violence de ses orgasmes. Qu’elle était belle dans sa nudité, les pointes de seins dressées comme une invite, le ventre un peu bombé, de longues jambes qui se rejoignaient sur son sexe gonflé aux lèvres ouvertes surmontées d’une toison aux petites boucles châtain clair.
    
    Machinalement, je regardai ma montre. Il était presque deux heures. Comme le temps passe vite quand on est heureux… Et je l’étais, plus que si ...
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