1. La tempête de neige


    Datte: 16/10/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, train, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation Oral Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... j’étais rentré sans problème dans mon pays des Fagnes. Je posai mon verre et lui pris la main. Elle se colla contre moi. Je sentais ses mamelons sur ma peau et sa bouche sur la mienne. Je me rendis compte qu’elle avait encore envie. Alors, je l’entraînai dans la chambre en la tenant par les fesses tandis qu’elle avait posé sa main libre sur ma queue qui rebandait déjà.
    
    — J’ai envie de recommencer.
    — Et toi ?
    — Moi aussi.
    — Que veux-tu ?
    — Une bonne minette pour me faire dormir dans tes bras. Et toi, de quoi as-tu envie ?
    — Fais-moi jouir avec ta bouche. Cela ne m’est jamais arrivé. Ce sera une première et c’est toi qui en auras la primeur.
    — J’en suis fière et je vais faire en sorte que tu en gardes le meilleur souvenir. Je suis heureuse, tu sais. Je n’aurais jamais pensé passer une telle soirée d’amour fou comme celle-ci. Et la nuit n’est pas finie. Fais-moi une belle minette.
    
    Ce disant, nous nous recouchâmes tête-bêche et nous lançâmes dans un soixante-neuf effréné. Une véritable folie amoureuse nous saisit. Nous nous léchions, nous nous sucions, nous ne savions plus où nous étions tant le plaisir nous surprenait soudain. Peu importe ; Marie-Anne vibrait de tout son corps, sa chatte coulait comme une fontaine pendant qu’elle ne cessait de pomper mon chibre tout près d’éclater. Ce n’était que cris, soupirs, gémissements, râles qui emplissaient la chambre.
    
    — Oh ! Chéri ! Fais-moi encore jouir. C’est bon, ta bite dans ma bouche. Laisse-toi aller ; je veux boire ...
    ... ton jus de couilles. Vas-y ! Je veux que tu jouisses dans ma bouche comme je vais jouir dans la tienne. Lèche bien mon jus de chatte. Comme ta langue est bonne sur mon clito…
    — Comme la tienne est bonne sur ma bite. Continue à me pomper comme tu le fais. C’est bon quand tu passes ta main sur le gland en le massant. N’arrête pas, je sens que je vais juter. Oooh ! Suce-moi jusqu’au bout !
    — Toi aussi, suce-moi. Je… sens… ma chatte… qui coule. Enco… re ! Encore ! Ouiiii, encoooore ! Je suis folle. Tu me rends dingue avec ta langue.
    
    Tout en lui suçant le bouton, j’introduisis deux doigts dans son vagin et les fis bouger comme une pine. Elle sursauta, se tortilla, gémit plus fort.
    
    — Oh ouiiii ! Oooooh, mon amour ! Plus fort ! Plus fort ! Suce-moi plus fort ; et plus vite, tes doigts ! Je vais jouiiiiir ! Je vais encore jouiiiiir. Ça y est ! Ça y est ! Je m’envole ! Aaaaaaaah ! Je jouiiiis ! Je jouiiiiiiis encooooore ! Ouuuuuuuh ! Aaaaaaaah !
    
    Je n’étais pas en reste. Je sentais sa mouille qui me coulait dans la bouche, et je me laissai aller en grognant. Je déversai dans sa bouche le reste de mon foutre. Je retombai près d’elle, la bouche pleine de son jus. Elle avait lâché ma pine qui retomba, flasque.
    
    — Oh ! Comme j’ai bien joui ! Tu es merveilleux ; je suis toute folle de ce que tu m’as fait depuis que nous sommes rentrés. Je suis épuisée et je ne sais plus combien de fois j’ai joui. Et toi ? C’était si bon que cela ?
    — Ouf ! Tu m’as eu et bien eu ! Je n’en peux ...