1. Salade bien mélangée (1)


    Datte: 16/10/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Pedennasi, Source: Xstory

    ... l’embrasser, l’emmener hors de la pièce, elle faillit s’évanouir.
    
    Marcel ne pouvait résister plus longtemps et admirait sans pudeur le corps de sa voisine. En souriant maladroitement, parce que tout de même un peu gêné par l’innocence de Louise, il se tourna vers elle et, couvant ses yeux baissés par ses yeux brillants de stupre, il tendit les mains vers ses seins, qui en effleurèrent les tétons, puis s’en emparèrent, pour les caresser avec délicatesse avant de les empoigner doucement, comme si elles craignaient de les blesser. Louise fermait les yeux, encore sous le coup de l’émotion, après avoir vu son mari embrasser, peloter, puis emmener une femme vers leur chambre. Aussi fut-elle surprise par la délicatesse des caresses de cet homme qu’elle avait pris pour un rustre grossier. Louise, ouvrant à moitié les yeux, oublia le dégoût que lui inspirait la laideur de Marcel, leva son pont-levis et, jetant sa vertu par-dessus les moulins, se tourna vers Marcel qui prit ses lèvres, pour un baiser de soudard. Louise sentit sa bouche pénétrée par une langue avide, pendant que des mains fébriles se régalaient au contact de ses petits seins, qu’ils commençaient à exciter.
    
    Dans le miroir mural, Louise se voyait nue, pelotée, tripotée, par un homme aussi nu qu’elle, laid, qu’elle n’osait pas toucher, mais dont elle avait sous les yeux le sexe, bandé, agressif, qui pointait vers elle. En l’absence d’autre expérience adultère, elle ne put que le comparer au sexe de Rémy… Le sexe de ...
    ... Marcel soutenait la comparaison, mais était bien différent…
    
    Pensant que Marcel finirait par emmener Louise dans la chambre d’amis, Rémy guida Odile vers la chambre conjugale, sans cesser de l’embrasser et de la lutiner. Sans séparer leurs lèvres, ils roulèrent sur le lit et Rémy entreprit de s’intéresser (enfin !) à la chatte de sa partenaire. L’une de ses mains lâcha le sein qu’elle caressait pour se poser sur la toison, courte et taillée, puis sur le clitoris qu’elle se mit à titiller, puis s’enfonça dans son vagin. Aussitôt, à la grande surprise de Rémy, Odile se mit à pousser de grands cris qui, s’ils n’eussent été de plaisir, auraient été le signe d’une immense souffrance…
    
    Dans la salle à manger, Marcel se détacha du corps de Louise, se leva, la fit également se lever et l’assit sur la table, les jambes dans le vide, pour mieux continuer de l’embrasser et de la caresser. Il s’agenouilla et sa bouche, et sa langue, s’emparèrent longuement du pubis de Louise, puis de son clitoris, puis de ses lèvres jusqu’à ce qu’elle jouisse, dans un petit cri. Puis il se releva et, debout, allongea Louise sur la table, lui les jambes leva à la verticale, et enfonça son pieu dans le ventre d’une Louise haletante, en un double râle de plaisir. Tout en gémissant sous les coups de piston de Marcel dans son ventre, Louise entendait les cris que poussait Odile dans la chambre. Curieuse. Un peu envieuse, elle s’interrogeait, essayait d’imaginer Rémy et cette femme… que lui faisait-il pour ...